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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 23:23

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http://www.calvados.gouv.fr/IMG/pdf/expo_Jean_Moulin.pdf

Cette exposition a été réalisée, en 1999, par le Secrétariat d'Etat à la Défense

chargé des Anciens Combattants, à l’occasion du 100e anniversaire de la naissance de

Jean Moulin.

Les six premières affiches présentent l’homme, ses débuts dans la carrière

préfectorale, ses goûts et ses passions,… les aspects moins connus de ce grand

personnage. Les douze affiches suivantes exposent les grandes étapes de la deuxième

guerre mondiale en France, et le rôle de Jean Moulin dans la Résistance, jusqu'à son

arrestation. Enfin, les deux dernières affiches sont consacrées au devoir de Mémoire.

COMPOSITION DE L’EXPOSITION

¨ Affiche 1 : Présentation.

¨ Affiche 2 : La jeunesse.

¨ Affiche 3 : L’entrée dans la carrière.

¨ Affiche 4 : L’artiste.

¨ Affiche 5 : Fréquentation des milieux intellectuels.

¨ Affiche 6 : Premiers engagements.

¨ Affiche 7 : La “ drôle de guerre ” et la débâcle.

¨ Affiche 8 : Jean Moulin reste à son poste.

¨ Affiche 9 : “ Premier combat ”.

¨ Affiche 10 : L’installation

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 23:21
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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 23:05

http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/2013/02/28/resistance-disparition-de-francoise-seligmann/

Marseillaise de naissance, indignée alors élève de Khagne par l’exclusion de l’enseignement de sa mère en raison de sa judéité, engagée dans la Résistance en décembre 1941, membre de “Combat”, ayant crée une filière d’évasion entre Lyon et la Suisse, travaillé avec Albert Camus à la réalisation du journal clandestin “Combat”, mené plusieurs missions avec Claude Bourdet, Françoise Seligmann, 93 ans, est décédée.
Cette journaliste fondatrice après la Libération de la revue “La Française” à laquelle participait notamment Albert Camus a été une militante de gauche et des droits de l’homme. Proche de Pierre Mendès-France, elle a rejoint le parti socialiste de François Mitterrand en 1974, en a été l’une des secrétaires nationales de 1983 à 1993 avant d’être sénatrice des Hauts-de-Seine de 1992 à 1995.
Elle avait institué une fondation qui remet chaque année dix bourses à des projets sociaux pour le vivre-ensemble et elle avait fait don au musée Carnavalet de cent soixante oeuvres de la Belle Epoque réunis par s

 

http://www.senat.fr/senateur/seligmann_francoise59581a.html

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 23:04
Jusqu’au dim. 31 mars 2013 - Théâtre Rive Gauche, Paris - En 1945, Otto Frank, revenu des camps, attend tous les jours ses deux filles sur le quai de la gare d’Amsterdam. Lorsqu’on lui apprend qu’Anne et Margot ne reviendront pas, il ose ouvrir le journal intime de la cadette, Anne, et découvre avec stupeur qu’il ne connaissait pas vraiment sa fille. Cette adaptation du Journal d’Anne Frank par Eric-Emmanuel Schmitt adopte le point de vue du père d’Anne, incarné sur scène par Francis Huster.


Ce spectacle a reçu le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah. 

Bande annonce

http://www.fondationshoah.org/FMS/spip.php?article1979

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 23:03
Actualité Fils de l’écrivain Franz Hessel et d’Helen Gründ, Stéphane Hessel est né à Berlin en 1917. Arrivé à Paris en 1924, il est naturalisé Français avant la guerre. En 1939, Stéphane Hessel, jeune normalien, est mobilisé comme officier dans la Sarre. Fait prisonnier par l’armée allemande, il s’évade après avoir entendu parler de l’Appel du 18 juin et tente de rejoindre la France Libre à Londres. En mars 1941, il arrive en Angleterre et après une formation de navigateur observateur, il rejoint les Forces Aériennes Française Libres. En mars 1942, il fait partie du BCRA. Souhaitant regagner la France et participer à la lutte clandestine, il obtient la direction de la mission Greco, chargée d’organiser la couverture radio sur l’ensemble du territoire français en vue du débarquement. Dénoncé, Stéphane Hessel est arrêté en juillet 1944. Déporté à Buchenwald, il est transféré à la suite d’une tentative d’évasion au camp de Dora. Face à l’avance alliée, les Allemands se replient vers le nord et, au cours d’un transfert, Stéphane Hessel saute du train et rejoint les forces armées américaines à Hanovre. Dès son retour des camps nazis, il participe à la construction de la nouvelle institution de l’ONU dont il occupe 

http://www.fondationresistance.org/pages/accueil/

Retrouvez l'entretien accordé par Stéphane Hessel à la Fondation de la Résistance à l'occasion du 50ème anniversaire de traité de l'Elysée (Lettre n°71; p 10- 11):

http://www.fondationresistance.org/documents/lettre/LettreResistance071.pdf

 

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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 22:59
http://blog-fondation-memoire-deportation.blogspot.fr/2013/02/exposition-communiquer-pour-resister.html
Jusqu'au 5 mai, le Cercil propose un questionnement sur l'action de résister, ou plus exactement sur l'importance de communiquer pour résister.

Les tracts, les journaux clandestins, la radio libre ont en effet joué un rôle crucial dans le combat pour la liberté. Face aux persécutions et aux injustices, à la propagande, il fallait choisir son camp - la passivité p
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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 22:57
http://blog-fondation-memoire-deportation.blogspot.fr/2013/02/livre-memoires-blessees-de-charles.html

 « C’est bien plus difficile d’honorer la mémoire des anonymes que celles des personnes célèbres. La construction historique est consacrée à la mémoire de ceux qui n’ont pas de nom. » Walter Benjamin
"Mémoires blessées" fait état de plusieurs mémoires traumatiques en quête de reconnaissance : la subalternité des poilus de la Grande Guerre, le génocide des Arméniens, l’Espagne franquiste et la guerre civile, la destruction des Juifs d’Europe, Sétif, les harkis, les dictatures chilienne et argentine, mais aussi le décès d’ouvriers lié à l’amiante, le vécu difficile de l’émigration… Des histoires qui a priori n’ont rien à voir entre elles, mais qui sont somme toute liées par une expérience similaire : une souffrance tue, ou non audible, qui se doit d’être révélée et analysée par l’historien pour rendre le passé intelligible.
En ce qui concerne le cas singulier de la destruction des Juifs d’Europe sous le nazisme, il s’agit de ne pas tomber dans le double écueil de la sacralisation et de la banalisation. « Avec la sacralisation, il n’y aurait plus d’analyse possible, toute quête d’intelligibilité serait vaine à jamais ; mais avec la banalisation, c’est le relativisme et ses impasses qui rendraient alors illusoire toute approche un tant soit peu critique et responsable. »
L’auteur considère que « les traumatismes des uns concernent aussi les autres, et inversement. » Il porte ce regard de l’historien, attentif aux témoignages qui remontent jusqu’à aujourd’hui, il est celui qui écoute « la singularité de drames humains particuliers », et qui tient compte également de la « dynamique collective » pour prévenir du risque du retour de la barbarie. « Et ce risque, qui nous concerne tous, relève bien d’une dimension globale et universelle. »

Mais si la reconnaissance des mémoires blessées est n
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28 février 2013 4 28 /02 /février /2013 22:54

http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/2013/02/28/28-fevrier-1943-coup-de-maitre-en-norvege/

Les Alliés sont préoccupés par l’accélération de la recherche dans les laboratoires et ateliers d’expérimentation militaires du Reich. La priorité donnée à la construction d’avions sans pilote ou de fusées capables de frapper une cible notamment en Grande-Bretagne, les travaux sur l’emploi de l’atome pour la création de nouvelles munitions et de bombes sont des sujets sensibles.
Le Premier ministre britannique Winston Churchill considère que tout site sensible où la recherche vers de nouveaux armements esr certaine doit être prioritairement rayé de la carte ou anéanti par tout moyen capable de neutraliser les laboratoires et ateliers aux vocations dites “très nuisibles”. Il le rappelle devant le conseil des ministres restreint et aux responsables des services spéciaux.
Les renseignements obtenus par la Résistance norvégienne qui a informé les services anglais, attestent que l’usine d’eau lourde Norsk Hydro de Telemark près de Ryukan a débuté sa production et qu’elle est capable de fournir un vecteur indispensable à la poursuite des recherches scientifiques et militaires de l’ennemi sur le nucléaire.
C’est la raison pour laquelle, les Britanniques valident une opération coup de poing qui est déclenchée le 28 février 1943. Neuf commandos norvégiens parachutés à distance de l’objectif réussissent leur approche de la cible sans être remarqués, en particulier en escaladant une falaise très abrupte.
Ils parviennent à s’introduire dans l’établissement, à poser plusieurs charges explosives qui font leur travail. Les destructions opérées interrompent la production de la précieuse eau lourde mais, les services alliés savent q

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 23:53
Lyon Capitale – Selon plusieurs sources, François Hollande devrait venir à Lyon le 8 mai ou le 21 juin pour honorer la mémoire de Jean Moulin.
Jean Moulin, photo réalisée entre 1939 et 1940

70 ans après l’arrestation le 21 juin 1943, à Caluire, de celui qui a unifié la Résistance, il semblait naturel que Lyon soit cette année le cœur des habituelles commémorations. On ignore encore si François Hollande se rendra au CHRD, au mémorial Jean Moulin de Caluire ou à la prison de Montluc – trois lieux emblématiques, témoins des derniers jours du résistant.

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Lyon Capitale-l

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23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 23:42
Après des centaines de biographies et d'études consacrées au nazisme, la vie du plus sanguinaire des dictateurs conserve une part de mystère. Quatre nouveaux ouvrages, de Laurence Rees à Pierre Milza, marquent les 80 ans de l'arrivée au pouvoir de Hitler.

Dernières nouvelles de Hitler
On connaît les grandes lignes du portrait de Hitler composé au fil des années par les recherches historiques. Un peintre raté et effacé, passé sous l'uniforme en 1914 mais plus ou moins planqué, devenu un ancien combattant de la Grande Guerre ruminant son aigreur et qui mua, dans une Allemagne vaincue secouée par les crises, en un agitateur bientôt prêt à tout pour prendre le pouvoir. Un être asocial, tantôt hésitant, tantôt d'une confiance inébranlable, capable d'entraîner des masses consentantes dans les abîmes sans fond de l'inhumanité, grâce à la connivence de multiples acteurs. 


Un dictateur paresseux, auteur, sur le plan militaire, de coups de génie comme de bourdes monumentales, doublé d'un tyran génocidaire qui érigea la haine et la destruction en doctrine politique. Selon d'autres historiens - et une piste suivie par le renseignement américain dès 1947 -, le chef de l'Etat nazi, certain d'être guidé par «la Providence», était de surcroît cliniquement atteint de folie (mais bien responsable de ses actes), comme le laisse supposer son hospitalisation en octobre-novembre 1918 dans le département psychiatrique de l'hôpital de Pasewalk. 

Charisme mortifère 

La quintessence du personnage se situe toutefois dans son charisme paradoxal, sans lequel cet ex-caporal autrichien serait resté un obscur pangermaniste. C'est ce charisme mortifère qu'observe à la loupe l'historien et journaliste Laurence Rees, ancien directeur de la chaîne BBC History, dans un passionnant essai psycho-historique aujourd'hui publié sous le titre Adolf Hitler, la séduction du diable (Albin Michel). Son titre originel en anglais, The Dark Charisma of Adolf Hitler («le Sombre Charisme d'Adolf Hitler»), n'a pas la connotation inutilement surnaturelle du titre français. Car Hitler a bien adossé ses actes à un pouvoir concret que Rees s'emploie à rendre palpable : comment le «pouvoir de séduction» de Hitler, a priori inexistant, a-t-il pris forme ? Quelle attirance, quel rejet, quel aveuglement Hitler a-t-il suscités ? 


Comment sa force de conviction a-t-elle pu subsister alors que la défaite de Stalingrad, début 1943, démontrait toute l'irrationalité des certitudes hitlériennes ? Pour répondre à ces questions, l'auteur a puisé dans un solide corpus de témoignages - Allemands lambda et caciques du Reich - constitué par ses soins au cours des vingt dernières années. 

«Mon impression est que, fort heureusement, cet homme, Hitler, n'accédera jamais au pouvoir», crut ainsi l'un de ces témoins des années 20. «Ceux avec qui j'étais, les nombreuses personnes qui assistaient partout aux conférences du parti, tous le croyaient, et la seule raison qu'ils avaient de le croire, c'était parce qu'il était évident que lui aussi y croyait», juge un autre. La mise en perspective de ces confessions contradictoires, recoupées par divers documents, révèle les ingré
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