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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 18:26
AMEJD du XIe - 2011 - 1 579 enfants juifs de moins de 18 ans habitant le XIe arrondissement de Paris ou ayant fréquenté ses écoles sont morts en déportation pendant la Seconde Guerre mondiale. L’AMEJD a retrouvé les traces de leur passage pour honorer la mémoire de ces enfants. Cet ouvrage est le fruit de ce remarquable travail de mémoire.

Dans les écoles du XIe arrondissement de Paris, l’AMEJD a posé 45 plaques portant les noms et âges de leurs élèves déportés, retrouvés dans les registres scolaires après 10 ans de recherches.

Des centaines d’adultes se sont investis et des milliers d’écoliers avec leurs enseignants ont participé à ce travail.

Dans cet ouvrage, les habitants du XIe retrouveront une part de l’histoire de leur arrondissement. Les lecteurs découvriron

 

http://www.fondationshoah.org/FMS/spip.php?article1680

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 22:44

Pour le Concours National de la Résistance et de la Déportation Session 2012 (Thème retenu : Résister dans les camps nazis)

Enseignants et futurs candidats

INSCRIVEZ VOUS à l’après-midi pédagogique de présentation du Concours national de la Résistance et de la Déportation 2012 organisée par la Fondation pour la Mémoire de la Déportation et ses partenaires au

Palais des Arts et des Congrès d’Issy-les-Moulineaux 
25 avenue Victor CRESSON 
92130 Issy-Les-Moulineaux 
(métro L12 station Mairie d’Issy)

jeudi 15 décembre 2011 à partir de 13 heures 30

Il est possible de s’inscrire dès à présent par groupe directement adresse mel : afmd@afmd.asso.fr ou             01.43.25.84.98      

La séance sera animée par 
- Mme Joelle Dusseau Inspectrice générale de l’Education Nationale, Présidente du Jury National du Concours.

avec la participation de : 
- Mme Marie Josée Chombart de Lawe, Présidente de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, Résistante déportée à Ravensbrück et à Mauthausen. 
- M Floréal Barrier, Résistant déporté à Buchenwald 
- M Ramiro Santisteban Réfugié espagnol déporté à Mauthausen 
- M Robert Wajcman, déporté à Auschwitz Mme Claire Andrieu, Historienne, Professeurs des universités


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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 22:41
Arrivée de Patrick Benarouch, Directeur administratif et financier
 Le 1er décembre 2011, Patrick Benarouch a rejoint l’équipe de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah en tant que Directeur administratif et financier. Après avoir exercé ce métier au sein de plusieurs entreprises internationales, Patrick Benarouch a souhaité mettre son expérience au service de notre institution. Nous lui souhaitons la bienvenue.

Disparition d’Henry Bulawko
 C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris la disparition d’Henry Bulawko, dimanche 27 novembre 2011. Survivant de la Shoah, il fut notamment le président de l’Association des anciens déportés juifs de France. Avec lui, c’est un grand témoin de l’histoire et un militant de la mémoire qui s’éteint. De 2001 à 2006, il fut membre du Conseil d’administration de la Fondation. Nos pensées vont vers ses proches et sa famille. Suite
http://www.fondationshoah.org/FMS/spip.php?rubrique2
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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 22:39

Dimanche 18 décembre 2011

à 14h au Musée des Archives Nationales (Hôtel de Soubise) 60, rue des Francs-Bourgeois - Paris 3ème.


En partenariat avec l'association FLAG ! [Policiers et Gendarmes LGBT], Les "Oublié-e-s" de la Mémoire proposent de faire une visite en groupe de l'
exposition
Fichés ? Photographie et identification du Second Empire aux années 1960

L'exposition retrace l'histoire de l'identité citoyenne et du fichage policier en France, des sommiers judiciaires du XIXe siècle jusqu'à la systématisation dans les années 60, en passant par la "révolution Bertillon" et la naissance de la carte d'identité. 

Nos deux associations, actrices de l'abrogation des systèmes de fichages Ardoise et Edvige en 2008, souhaitent vous faire partager cette présentation historique sur un sujet toujours sensible et d'actualités. Des fiches de personnaltiés des plus inatendues sont exposées.

Plus d'informations
Plein tarif 6e - Tarif réduit : 4e (groupe à partir de 11 personnes)
Rendez-vous à 13h45 - Merci de confirmer votre présence par téléphone au             06.18.84.00.33      

 

http://www.devoiretmemoire.org/home.html.

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26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 23:24
Débats d’histoire et enjeux de mémoire, Dijon, Mémoire active, 2011, 176 p.
Isabelle Ernot
Texte | Notes | Citation | Auteur

Texte intégral

1Issu d’un colloque organisé à Dijon en 2007 sous l’impulsion de Mickaël Bertrand, l’ouvrage constitue une mise au point sur la question de la déportation pour motif d’homosexualité en France durant la Seconde Guerre mondiale. Cette rencontre scientifique s’inscrit dans le sillage de deux autres organisées à Lyon en 2005 et Angers en 2006. L’ouvrage présente quatre contributions dues à Mickaël Bertrand, Florence Tamagne, Arnaud Boulligny, Marc Boninchi et deux postfaces. La première est de Jean le Bitoux, fondateur de la revue Gai Pied et du Mémorial de la Déportation Homosexuelle (1989) qui, outre l’aide apportée à la rédaction de l’autobiographie de Pierre Seel (1994), a publié en 2002 Les Oubliés de la Mémoire – première synthèse sur le sujet ; la seconde postface est de Romain Chappaz, président de l’association CIGaLes, co-organisatrice de l’événement dijonnais.

2Mickaël Bertrand considère que les connaissances apportées par ces actes constituent une « petite révolution » tant elles bousculent les représentations dominantes (p. 12). « Depuis ce colloque, nous ne pouvons plus parler impunément de déportation pour motif d’homosexualité en France sans prendre la mesure de la complexité du phénomène. Des homosexuels ont certes été déportés dans des camps de concentration mais peu l’ont été réellement pour motif d’homosexualité. Afin d’éviter les amalgames et les excès regrettables qui n’ont que trop duré, il me semble qu’il faut désormais êtres plus précis dans le vocabulaire utilisé. Un homosexuel déporté n’est pas un déporté homosexuel. Nous savons maintenant que les déportés homosexuels français sont en fait beaucoup moins nombreux que nous ne l’avions imaginé jusqu’à présent. Cela ne signifie pas pour autant que des homosexuels français n’ont pas été déportés », écrit-il (p. 18).

3Le faible intérêt que portèrent à ce sujet, à la fois, les autorités politiques et le monde universitaire, confina celui-ci dans une négation de sa réalité historique quand, parallèlement, le mouvement associatif, s’en saisissant à des fins revendicatives, en forgeait une représentation erronée. Si l’idée d’une persécution systématique des nazis à l’encontre des homosexuels a dominé à partir des années 1970-1980, les études menées récemment tendent à corriger celle-ci. Dans le cadre français, le travail historique s’ouvre ainsi sur deux chantiers : celui de la réalité de la déportation et celui de l’histoire de l’investissement mémoriel sur le sujet de la déportation par le mouvement gay.

4Une première contribution de Florence Tamagne replace le sujet dans le contexte européen. Elle s’intéresse tout d’abord aux modalités de contrôle de l’homosexualité dans la première moitié du XXe siècle, particulièrement sous le régime nazi, puis à la c

http://genrehistoire.revues.org/index1267.html

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 22:59

Notre exposition "Se souvenir pour refuser l'oubli" sera présentée en la Bibliothèque Municipale de Auch (Gers) du 29 novembre au 10 décembre 2011, organisée par l'Association Nationale des Anciens Combattants et Ami(e)s de la Résistance (A.N.A.C.R.).


A leur demande et dans le cadre du Concours National de la Résistance et de la Déportation, l'A.N.A.C.R. a souhaité mettre la lumière sur une page de la mémoire de la Déportation encore méconnue : la déportation des homosexuels pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Une conférence cloturera cet évènement culturel, samedi 10 décembre 2011 à 16h30, avec Philippe Couillet, président national et Hervé Hirigoyen, délégué Midi-Pyrénées.

 

http://www.mairie-auch.fr/opacwebaloes/index.aspx?IdPage=416

 

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21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 22:57
lundi 21.11.2011, 05:17  - La Voix du Nord
 Guy Crepin commente les articles devant Yves Durand et Roger Vicot, ainsi que le président lillois de la LICRA, Charles Sulman.Guy Crepin commente les articles devant Yves Durand et Roger Vicot, ainsi que le président lillois de la LICRA, Charles Sulman.
| LOMME |

L'affaire remonte à 1894 mais elle n'est pas oubliée et les bénévoles de la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA)

 

ont tenu à la faire resurgir concrètement par le biais d'illustrations qui se trouvent présentées jusqu'à samedi dans l'hôtel de ville de Lomme.

Jeudi, un vernissage a permis au public présent de se souvenir de cette affaire impliquant un officier français, d'origine juive, Alfred Dreyfus, injustement dégradé pour espionnage.

De nombreux articles de journaux et cartes postales de l'époque se succèdent, souvent des originaux glanés en France, en Allemagne ou en Belgique, par ces collectionneurs passionnés : Michèle et Guy Crepin, respectivement documentaliste et instituteur à la retraite. Avec force et précision, Guy Crepin a commenté, en présence du député-maire, Yves Durand et du premier adjoint à la vie associative, Roger Vicot, chaque page de journaux, duPetit Parisien au Courrier français, en passant par Le Pilori traitant de l'affaire Dreyfus et de son d

 

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lomme_Lambersart/actualite/Lomme_Lambersart/2011/11/21/article_l-affaire-dreyfus-exposee-a-la-mairie-e.shtml

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 23:39

 

est né le 21 mai 1920 au bourg de Ferrières-sur-Sichon (03). Son père Pierre est journalier, sa mère Claudine née FOURNIER est femme au foyer.
 
Il est adopté par la Nation suite au jugement du Tribunal Civil de Cusset en date du 29 octobre 1930.
 
Incorporé au Groupe N° 4 des Chantiers de Jeunesse du 16 mars au 10 octobre 1941, il exerce à son retour la profession de cordonnier à Ferrières-sur-Sichon.
 
Photo: Archives de la famille
 

Selon plusieurs attestations de responsables du mouvement «Combat», il effectue dès mars 1942 «de nombreuses liaisons avec les groupes clandestins dans la Montagne Bourbonnaise où il a aidé à transporter armes et matériel ainsi que le ravitaillement jusqu'à son arrestation le 23 novembre 1943».

En mars 1943 il est désigné pour le S.T.O. (Service du Travail Obligatoire), mais réfractaire au dit S.T.O., il quitte Ferrières-sur-Sichon où sévissent des collaborateurs, les FRADIN père et fils, pour se réfugier dans la ferme des NINCK au lieudit La Bouloise à Lusigny (03).

Dénoncé, il est arrêté le 23 novembre 1943 à Lusigny par la Gestapo de Moulins.

Motif de l'arrestation: «Il aurait touché la prime de 1000 francs et l'équipement comme travailleur volontaire en Allemagne. Il serait néanmoins resté en France, ce qui a motivé son arrestation sur l'ordre de la Police de Sûreté de Vichy».

Il est alors interné à la Mal-Coiffée, prison militaire allemande à Moulins (03), jusqu'au 17 novembre 1943, date de son transfert à Compiègne.

Il est déporté le 22 janvier 1944 de Compiègne à Buchenwald par le convoi référencé I.172 par la Fondation pour la Mémoire de la Déportation.

Il reçoit le matricule N° 42619 et, après la quarantaine au Petit Camp, est transféré au célèbre tunnel de Dora, puis au kommando de Blankenburg.
 
 
 
Blankenburg ou«Klosterwerke» ou «Osig»: Kommando des KL Buchenwald-Dora. La commune de Blankenburg, située dans la partie nord-est du Harz sur le versant opposé à No
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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 23:37

Périgueux

Aux 1 898 déportés

L'écrivain Guy Penaud a réalisé une première avec un livre qui recense toutes les personnes déportées d'un département.

 Guy Penaud a présenté son ouvrage avec l'éditeur Éric Pedegai et Norbert Pilmé. photo jean-christophe sounalet
Guy Penaud a présenté son ouvrage avec l'éditeur Éric Pedegai et Norbert Pilmé. PHOTO JEAN-CHRISTOPHE SOUNALET
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Il a fallu près de trois ans de travail à Guy Penaud pour venir à bout de ce défi : retrouver la trace de toutes les personnes du Périgord déportées dans les camps durant l'Occupation. Il en a fait un pavé de près de 450 pages qui sort en librairie cette semaine aux éditions La Lauze, et qui sera présenté au troisième salon Mémoire, Résistance et Déportation ce week-end à Périgueux (lire en page 23).

« C'est la première fois en France que l'on fait un tel travail de recensement pour un département », assure l'auteur. En dépouillant et en recroisant toutes les archives possibles, il a pu établir 1 898 fiches. Il a utilisé le mémorial de la Shoah, ceux de Yad Vashem et de la Fondation pour la mémoire de la déportation, le Journal officiel, les archives départementales, les livres déjà publiés (comme « Les Juifs en Dordogne », écrit il y a huit ans par Bernard Reviriego) et ses propres recherches sur les exactions des divisions Das Reich et Brehmer.

Un ouvrage de référence

L'éditeur Éric Pedegai pense qu'il a pris un certain risque en publiant un tel ouvrage (pour l'instant tiré à 900 exemplaires). « C'est un travail considérable », souligne Guy Penaud, qui avoue cependant préférer se plonger dans les archives qu'aller à la pêche ou faire du sport.

L'ancien commissaire de police devenu écrivain et historien s'est fait une spécialité de ces livres qui compilent tout sur un sujet et deviennent de véritables référen

http://www.sudouest.fr/2011/11/18/aux-1-898-deportes-556766-1980.php

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 23:33

INVITATION,

à la projection du film "UNE VIE AVEC ORADOUR" en présence du réalisateur, dans le cadre du mois du film documentaire.

Ce documentaire s'inscrit totalement dans le travail de mémoire que nous accompagnons dans notre région afin que les connaissances historiques et les mémoires (individuelles et collectives) ne s'éteignent pas, mais au contraire se complètent et nous éclairent.

Au plaisir de vous y accueillir, cordialement,

Arlette HASSELBACH - Présidente AFMD 68 
Amis de la Fondation pour la Mémoire
                de la Déportation du Haut-Rhin
78 rue du Vieil Armand      
68760 WILLER SUR THUR       Tél. +33 389 82 38 84

 

Le cinéma Florival

en partenariat avec

la Médiathèque de Guebwiller,

les Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation 68 (AFMD)

le Ciné-Club Jean Finiels – Ciné Passion

 

dans le cadre du mois du film documentaire

présente

 

UNE VIE AVEC ORADOUR

Le lundi 21 novembre à 20h30

En présence du réalisateur Patrick Séraudie qui présentera le film et répondra aux questions du public

 

Le 10 Juin 1944 à Oradour-sur-Glane, Robert Hébras échappe à la mort.

« Une vie avec Oradour » retrace son histoire, avec le récit minutieux de cette journée, filmé dans les ruines du village-martyr. Un drame ancré dans notre mémoire collective et qui reste le plus important massacre de civils en France sous occupation allemande.

A la veille du 10 juin, Robert est encore un jeune homme « ordinaire » vivant dans un village « loin » de la guerre. Il n’est impliqué dans aucune forme de militantisme, ni de résistance.

Ensuite, après une période de reconstruction durant laquelle il occulte le drame, il va progressivement devenir un témoin infatigable, vouant une grande partie de sa vie à raconter son expérience traumatisante –notamment lors des procès de Bordeaux et Berlin- et à militer contre la guerre, la haine et pour le respect des victimes.

Jamais il ne quittera la région, habitant les baraquements provisoires avec son père, puis le nouvel Oradour, village construit au-dessus du village-martyr.

 

Il me semble que mon film est traversé de manière sous-jacente, par l’idée de montrer comment un jeune homme, pris dans la tourmente d’une période historique violente et complexe, voit son univers basculer et comment sa vie s’en trouve à jamais transformée.

Patrick Séraudie

 

 

 

 

 

Au  CINEMA  FLORIVAL de GUEBWILLER – Haut/Rhin.

 


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  • : il s'agit d'un blog dédié à la Mémoire en général et à la mémoire de la Résistance et de la Déportation en particulier
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