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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:22
Thouars
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Les témoignages de survivants à la Déportation, durant la Seconde guerre mondiale, se raréfient avec le temps. Dès lors, il convient de prévoir les supports pédagogiques de demain. Cette dimension a été abordée vendredi et samedi, au Centre régional Résistance et liberté, lors d’une rencontre des Amis de la fondation pour la mémoire de la Déportation.

 

Joachim König, responsable pédagogique du Mémorial de Buchenwald, reçoit régulièrement des groupes scolaires venus de différents pays. Il affirme être« très optimiste » quant à l'intérêt pour la période de cette jeune génération pourtant souvent pointée du doigt.

 

http://www.courrierdelouest.fr/actualite/deuxsevres/article_-Thouars.-La-transmission-de-la-memoire-de-la-Deportation-un-enjeu-majeur_37956-103_actualite.Htm

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:21

Publié le samedi 12 novembre 2011 à 09H28 - Vu 91 fois

Les enfants de Paul-Bert, Charpak, Cousteau et Paradis réunis pour interpréter

Les enfants de Paul-Bert, Charpak, Cousteau et Paradis réunis pour interpréter


Troyes- Enfants, anciens combattants, militaires d'active, élus et jeunes de la préparation militaire Marine réunis pour un hommage solennel

 

Un 11 Novembre à l'image d'une nation unie autour des victimes de tous les conflits.
Au pied du monument des Enfants de l'Aube, hier matin, dans les frimas de novembre, les plus anciens combattants, parmi lesquels Robert Galley, côtoyaient les enfants des écoles Paradis, Paul-Bert, Charpak et Cousteau venus chanter la Marseillaise. Aux côtés de porte-drapeau dont certains ont été récompensés pour leur fidélité, la jeune Prisca Rydzinski arborait fièrement le drapeau des déportés et internés (FNDIRP). Et, à quelques mètres des militaires venus du Centre d'entraînement au combat de Mailly, les stagiaires de la préparation militaire Marine Amiral Aube arboraient fièrement leur bachi. Cet hommage de la Nation « aux soldats morts pour la France, pour la défense de la patrie ou en opérations extérieures » a aussi été l'occasion de remettre des décorations à l'adjudant-chef Burelle et à l'adjudant Schaffar pour la qualité de leur engagement en Afghanistan. L'occasion enfin de se souvenir. « Mon père avait fait quatre ans de g

http://www.lest-eclair.fr/article/autre-actu/lhommage-a-tous-les-soldats-morts-pour-la-france

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:20

Avec sa femme Camille qu'il avait épousée lorsqu'il était dans le maquis de Marson.

 

André Etchegoimberry s'est éteint mardi à Sedan. Résistant et rescapé du Struthof, il avait voué sa vie à témoigner pour la liberté et la paix.

 

IL était l'un des derniers survivants ardennais des camps de concentration. L'ancien maire de Bazeilles, André Etchegoimberry s'est éteint ce mardi 8 novembre, au centre hospitalier de Sedan, à l'âge de 89 ans. Malade depuis deux ans, ce grand résistant n'avait pas pu surmonter le chagrin de la perte de son épouse Camille, le 17 octobre dernier. « C'est une grande perte pour nous tous » confiait hier avec émotion Gérald Dardart, historien et président départemental de la FNDIRP.
André Etchegoimberry était né en 1922 à la Chaussée-sur-Marne et s'était engagé très jeune dans la Résistance. A 19 ans, il rejoignit le maquis de Marson (51), le plus important de la région. Sa propre mère faisait partie du réseau et prenait régulièrement son vélo pour approvisionner les maquisards ou leur fournir des nouvelles. André qui épousa pendant cette période Camille Capitelli, menait avec ses camarades des actions de renseignements et de contacts au péril de sa vie. Les maquisar

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/deces-dandre-etchegoimberry-ancien-maire-de-bazeilles-lesprit-de-resistance

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:19
par Gilles Manceron, historien, vice-président de la Ligue des droits de l’Homme 
+ Communiqué de la Libre pensée

La lutte pour la réhabilitation des victimes d’exécutions sommaires ou de décisions arbitraires de tribunaux militaires en 14-18 a été entamée, notamment par la Ligue des droits de l’Homme, pendant la guerre elle-même, et elle a donné lieu à des campagnes massives durant l’entre-deux-guerres. Elle a obtenu des résultats. Telle la suppression, en avril 1916, des cours martiales, tribunaux militaires spéciaux à trois juges sous l’autorité de la hiérarchie, aux décisions immédiatement exécutoires, sans appel ni grâce, qui ont prononcé autour d’un millier de condamnations à mort, dont la moitié ont été exécutées. Un certain nombre de réhabilitations en appel ou en cassation sont intervenues avant la fin de la guerre et surtout après, puisque, entre 1919 et 1932, cinq lois ont été votées qui ont permis de nombreuses amnisties ou annulations des condamnations. Ce combat a débouché finalement en 1932 sur l’installation d’une cour spéciale de révision pouvant se saisir y compris de jugements que la Cour de cassation n’avait pas voulu annuler. Elle a pu lever à son tour, jusqu’en 1935, des condamnations symboliques, comme celle des «  caporaux de Souain », dont l’instituteur Théophile Maupas dont le cas avait été défendu avec acharnement par sa veuve, Blanche Maupas.

Mais beaucoup d’injustices n’ont pas été réparées, y compris dans des cas sur lesquels des contre-enquêtes avaient démontré qu’elles étaient flagrantes. Comme celui de Jean Chapelant, un sous-lieutenant de 23 ans ramené blessé dans ses lignes, en octobre 1914 dans la Somme, accusé de « capitulation en rase campagne », condamné à mort et fusillé, attaché sur un brancard. Ou de Léonard Leymarie, un soldat du 305e régiment d’infanterie, condamné à mort et fusillé dans l’Aisne en décembre 1914, pour mutilation volontaire et abandon de poste, alors qu’il avait été blessé à la main à son poste de guetteur dans une tranchée. Leurs condamnations n’ont toujours pas été levées.

La LDH continue à recevoir aujourd’hui de la part de familles des courriers demandant que la lumière soit faite sur la mort au front d’un ancêtre qui n’a pas eu droit à la mention «  mort pour la France ». Des historiens ont découvert d’autres cas de condamnations d’innocents qui n’ont pas fait l’objet de campagnes. Le fichier des Anciens combattants concernant les militaires morts durant le conflit et qualifiés de « Non-morts pour la France » ne rassemble pas moins de 100 000 notices. Tout cela justifie qu’on rouvre ce dossier et continue à demander que, dans la mesure du possible, des faits soient reconnus et des injustices réparées.

Au total, on estime que, durant toute la guerre, sur les quelque 140 000 décisions de tribunaux militaires, il y a eu environ 2 400 condamn

 

http://www.millebabords.org/spip.php?article18943

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:18
Les héros de l'ombre de la Bataille du rail vont constituer un thème majeur du 3e salon Mémoire, Résistance et Déportation, au Théâtre les 19 et 20 novembre.
 Norbert Pilmé et Yves Guéna avec des lycéens lors du salon de 2009. ARCHIVES STEVE FRANCO
Norbert Pilmé et Yves Guéna avec des lycéens lors du salon de 2009.ARCHIVES STEVE FRANCO
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Qui ne se rappelle le film de René Clément, « La Bataille du rail », hommage vibrant aux cheminots de la France occupée ? Malgré la polémique récente sur les transports de déportés auxquels la SNCF fut contrainte par les nazis, cette page d'Histoire reste d'actualité.

Elle sera ainsi au centre du 3e salon régional Mémoire, Résistance et Déportation, qui se déroulera les 19 et 20 novembre au Théâtre de Périgueux, avec inauguration par le président du Conseil régional.

Comme l'explique Norbert Pilmé, initiateur de ce salon et président de l'association Périgord Mémoire Histoire qui le gère, l'universitaire d'Aix-en-Provence (1) Robert Mencherini, attaché au CNRS, animera un débat le samedi à 14 h 30 à l'auditorium sur « l'impact de l'action des cheminots résistants dans la lutte contre l'occupant ».

Ce débat suivra la projection d'un film commenté par Louis Delmon, historien et ancien élu sarladais, en présence de Pierre Vincent, de l'Institut CGT d'histoire sociale, et de responsables de l'Association nationale des anciens combattants de la Résistance (Anacr).

Le programme du CNR

Le lendemain, le professeur Mencherini évoquera à 10 heures, à l'auditorium toujours, « le rail dans le programme du Conseil national de la Résistance (CNR) et la reconstruction de la France ».

Le CNR est, on le sait, la référence de tous ceux pour qui la Libération aurait dû amener une ère de justice sociale. Stéphane Hessel est, dans « Indignez-vo

http://www.sudouest.fr/2011/11/11/le-salon-de-la-resistance-sous-le-signe-du-rail-550342-1980.php

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:17
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Travail historique lié au devoir de mémoire, la participation au Concours de la Résistance et de la Déportation permet aux élèves des classes de troisième de collège et aux élèves de toutes les classes de lycée de rencontrer des témoins de l’Histoire, d’exercer leur esprit critique et de construire une réflexion personnelle.

Le thème du Concours 2011-2012 est le suivant : « Résister dans les camps nazis ».

Les élèves sont invités à réfléchir, individuellement ou collectivement, sur ce thème sous forme de travaux collectifs ou individuels. La date des épreuves individuelles est fixée au vendredi 23 mars 2012.

Une conférence départementale a été organisée le 12 octobre après-midi par l'inspection académique et la Fondation de la Résistance, animée par des personnalités nationales et départementales des associations et fondations pour la mémoire pour promouvoir ce concours auprès des chefs d'établissement et des enseignants.

Je souhaite attirer l'attention sur l'intérêt de ce concours auquel je crois beaucoup pour perpétuer auprès des jeunes la mémoire de la Résistance et contribuer à former des citoyens. Je compte sur l'implication de tous pour permettre la participation élargie des élèves. L'enjeu éducatif est à la hauteur de notre responsabilité collective.

Les inscriptions sont à effectuer auprès du secrétariat de l'établissement qui transmettra à l'inspection académique - division des élèves, pour le 15 décembre.

Vous trouverez ci-joint différents documents à télécharger :

http://www.ia72.ac-nantes.fr/1320932756394/0/fiche___actualite/&RH=IA72

 

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:15

L'Union locale des anciens combattants tient une permanence tous les samedis rue de l'Oranger

L'Union locale des anciens combattants tient une permanence tous les samedis rue de l'Oranger 

 

Les cérémonies de ce 11 novembre auront une saveur particulière pour l'Amicale des anciens combattants de Neuville-lès-Dieppe. « Nous avons décidé de nous associer avec l'Ammac (Amicale dieppoise de marins et marins anciens combattants) », explique son président, Guy Hamel

« Attirés par la carte du combattant »
Créée au XIXe siècle, l'amicale ne compte plus qu'une douzaine d'adhérents. Trop peu pour justifier de la poursuite de ses activités. « Nous deviendrons adhérents de l'Ammac. » Un choix de raison. Même cas de figure pour la Fédération nationale des déportés internés résistants patriotes (FNDIRP).
Avec ses quarante adhérents, dont les membres des familles des anciens déportés et internés, l'association préfère rejoindre la Fondation du souvenir. « Nous allons créer une section à Dieppe », annonce Daniel Evrard pour qui la prochaine assemblée générale, le 22 janvier sera un peu particulière. L'Anacr (Association des anciens combattants et résistants), créée en 1951 ne totalise plus que trois a

http://www.paris-normandie.fr/article/autres-actus/dieppe-des-associations-patriotiques-fusionnent

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:13

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Résistant, déporté et depuis indéfectible passeur de mémoire, le Leyhnacois Jean Sabut a été élevé officier de la Légion d'honneur.

Témoin infatigable pour le devoir de mémoire, combattant acharné contre l'oubli, Jean Sabut a été élevé, fin octobre, officier de la Légion d'honneur à Leynhac.

Devant un important parterre d'invités du Cantal en général et de la Châtaigneraie en particulier (élus, haut fonctionnaires, mais aussi simples citoyens, écoliers, collégiens, lycéens), la vie de celui qui, depuis son retour des camps, a toujours oeuvré pour la paix entre les peuples a été retracée.

Il récupère des tracts avec sa jument

Travaillant déjà pour la Résistance depuis 1943, l'histoire de Jean Sabut dans la guerre ne débute pas en mai 1944, quand deux bataillons de la division blindée « Das Reich » pénètre dans Maurs. Mais c'est à ce moment que Jean Sabut, 18 ans, entre dans cette Histoire que, depuis, il s'attache à défendre et à transmettre.

Le jour n'est pas encore levé quand tous les hommes de 14 ans et plus de la commune sont regroupés sur la place du Maréchal Pétain (aujourd'hui place de la Grande fontaine). Jean Sabut en fait partie. Il venait de Leynhac avec sa jument récupérer des tracts pour les résistants. Il est arrêté. Via Figeac et Cahors, le convoi comprenant une centaine de prisonniers arrive à Montauban. Des interrogatoires musclés attendent ces hommes, quand ce n'est pas l'exécution.

Jean Sabut est embarqué ve

 

http://www.lamontagne.fr/editions_locales/cantal/legion_d_honneur_a_jean_sabut@CARGNjFdJSsAFBoDBB0-.html

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:12
11-novembre
Le monument « aux quatre têtes » dédié à Robert de la Myre-Mory, place de l'Egalité./Photo DDM
Le monument « aux quatre têtes » dédié à Robert de la Myre-Mory, place de l'Egalité./Photo DDM
Le monument « aux quatre têtes » dédié à Robert de la Myre-Mory, place de l'Egalité./Photo DDM

78e anniversaire de la mort de Georges-Leygues. 71e anniversaire de la mort de Robert de la Myre-Mory. 93e anniversaire de l'armistice de 1918. Pour le Collectif des Médaillés militaires associé aux Amis de la Fondation pour la mémoire de la déportation (AFMD), cette journée du 11 novembre 2011 prend un caractère bien particulier. « Nous allons déposer une nouvelle plaque, place de l'Égalité, sur le monument à la gloire de Robert de la Myre-Mory », explique Michel Labourdette, le président de l'AFMD. « Ce qui nous paraît important chez cet homme hors du commun est sa dimension d'abnégation, de courage qu'il a eu pour servir une France libre et souveraine. Il mit sa vie en jeu, il la perdit le 10 juin 1940 à Voucq dans les Ardennes ». Pour les deux associations, Robert de la Myre-Mory, bien qu'il ait une avenue, un stade à son nom dans la ville, est insuffisamment honoré. « Le collectif répare donc une injustice que l'on ne sait expliquer ». Robert de la Myre Mory n'a que 16 ans lors de la déclaration de guerre. Il s'engage en 1917 et devient de fait le plus jeune soldat du 26e Régiment d'infanterie. Mutilé la même année, il revient dans sa famille au château de Cadrès, cet endroit dans lequel Robert de la Myre-Mory passa une partie de son enfance. « Comment ne pas faire un parallèle, ajoute Michel Labourdette, avec son aîné de 42 ans, Georges Leygues, qui s'engagea, volontairement comme lui, à l'âge de 58 ans, dans les Chasseurs alpins. Le 93e anniversaire de l'Armistice n'oblitère en rien tous les Poilus morts sur le champ de bataille, le champ de la plus grande boucherie de l'histoire contemporaine ». Robert de la Myre Mory « est avec Robert Philippot, un Agenais, député, déporté à Birkenau, de ces hommes qui redonnèrent toute sa dignité à cette France qui en avait grand 

http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/10/1212345-le-collectif-repare-une-injustice.html

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:10

http://www.afmd.asso.fr/Le-systeme-concentrationnaire-nazi.html

Dans ce numéro de mémoire vivante Maurice Voutey présente le système concentrationnaire nazi.

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Mis à jour : dimanche 6 novembre 2011 
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  • : il s'agit d'un blog dédié à la Mémoire en général et à la mémoire de la Résistance et de la Déportation en particulier
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