"Plus jamais ça!"
Le 14 décembre 2011
Bonjour,
L'Association Française Buchenwald Dora et Kommandos vous invite à prendre connaissance du programme de son prochain voyage à Buchenwald et Dora, du 14 au 18 avril 2012.
Pour vous désabonner de cette newsletter, ou écrire au webmestre, veuillez utiliser cette adresse : buchenwalddora@free.fr
Merci et à bientôt !
Association Française Buchenwald Dora et Kommandos
Tel : 01 42 85 44 93
buchenwald-dora@libertysurf.fr
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http://www.buchenwald-dora.fr/
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Bon surf !
Du lundi 5 au mercredi 21 décembre
Les Hivernales
Le centre d'interprétation est ouvert à la visite tous les après-midi de 14 h à 18 h.
Visites commentées de l'exposition permanente le dimanche 18 décembre à 14 h 30 et 16 h 30.
A la boutique, venez découvrir nos idées cadeaux pour les fêtes.
Dimanche 11 décembre de 10 h à 18 h 30
Rencontres d'auteurs
Faîtes connaissance avec des auteurs régionaux et découvrez leurs ouvrages.
Visites commentées de l'exposition permanente à 10 h 30, 14 h 30 et 16 h 30.
N'oubliez pas de visiter la librairie en ligne sur le site web du centre d'interprétation.
Informations pratiques
Tarifs d'entrée visite
- plein tarif : 4 € 00,
- tarif réduit : 3 € 00 (enfants, étudiants, anciens combattants, demandeurs d'emploi, handicapés, carte Cezam, carte Moisson, carte Bourgogne Fréquence, carte Bourgogne Liberté),
- gratuit jusqu'à 12 ans.
Ouvert toute l'année aux groupes, sur réservation préalable.
Renseignements
Centre d'interprétation de la ligne de démarcation
Place du Bassin - 71420 Génelard
Tél. 03 85 79 23 12 ou info@lignededemarcation.fr
www.lignededemarcation.fr
Programme donné sous réserve de modifications. Pour confirmation, consultez régulièrement la page actualités de notre site.
Si vous ne souhaitez plus recevoir cette lettre d'information, envoyez un message à cette adresse, en indiquant "désinscription" en objet et en précisant votre adresse e-mail.
La bibliothèque municipale accueille à son rez-de-chaussée et à l'étage jusqu'au 10 décembre, une exposition sur « les oublié(e) s de la mémoire ». Il s'agit de rappeler et « de faire connaître la persécution et pour beaucoup la déportation pendant la Seconde Guerre mondiale, de femmes et d'hommes, pour raison d'homosexualité », explique Edgard Castéra, coprésident départemental de l'Association nationale des anciens combattants et amis de la Résistance (Anacr).
La trentaine de modules où les textes et les images qui se basent sur un énorme travail de recherches effectuées par les historiens de la Fondation pour la mémoire de la déportation (FMD), sont assez édifiants pour montrer qu'il s'agit bien de racisme.
Cible d'HimmlerMarqués d'une étoile rose, les homosexuels étaient l'une des cibles d'Himmler qui considérait leurs comportements comme un délit parce qu'ils empêchaient la reproduction de la prétendue race germanique. En France, le nombre de victimes de ce racisme s'élèverait à 700 personnes, surtout en Moselle, lesquelles furent décelées notamment sur des fichiers de la police.
La directrice et conservatrice de la bibliothèque, Gaëlle Panighetti, apporte aussi son concours à cette exposition et s'en exprime : « C'est très intéressant de travailler avec l'Anacr qui aujourd'hui aborde un sujet sensible et délicat. Nous lui apportons notre soutien en proposant au public de nombreux livres se rapportant aux camps de concentration et sur l'homosexualité ».
Conférence
Pour con
http://www.sudouest.fr/2011/12/07/ils-portaient-une-etoile-rose-573773-2277.php
1929-1938 : le national-socialisme et l’opinion publique allemande
Chronique d’une conquête du pouvoir
Par Michel Fabréguet, historienSamedi 10 décembre à 15h00 au Cinéma de Tence
Après l’échec du putsch de la Brasserie en 1923, Hitler fit le choix d’une stratégie « démocratique » pour accéder au pouvoir. Profitant des effets de la crise de 1929, le parti national-socialiste connut une montée en puissance électorale sans précédent et tout à fait atypique. Aussi la prise de pouvoir en 1933 respecta-t-elle les apparences de la légalité. L’instauration du régime du parti unique ne mit d’ailleurs pas fin à la pratique des consultations électorales sous le Troisième Reich, qui se poursuivirent jusqu’en 1938….
Michel Fabréguet reviendra avec pédagogie sur cette période pour mettre en lumière le soutien de la majorité de la « communauté populaire » allemande à un régime qui a pu, alors, se prévaloir d’une dynamique de succès…
Michel Fabréguet est professeur à l’Institut d’Études Politiques de Strasbourg où il enseigne l’histoire des idées politiques modernes et l’histoire politique comparée en Europe. Auteur d’une thèse sur le camp de concentration de Mauthausen, il est également membre du conseil scientifique de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, expert auprès de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et Président de la Société d’Histoire de la Montagne (Chambon-sur-Lignon).
Si l’on veut lire, de Michel Fabréguet :
Dans le cadre de la préparation au CNRD 2011-2012, le groupe relais organise une journée de témoignages, de rencontres et de cinéma à l'attention des élèves participant au concours.
Lundi 12 décembre 2011
au Conseil régional d'Alsace,
à Strasbourg.
http://www.unadif.fr/actualites/journee-de-preparation-au-cnrd-2011-2012
Par ailleurs, les survivants de 75 ans et plus qui ont dû vivre dans un ghetto durant au moins 3 moins pourront prétendre à une pension mensuelle de 200 ou 240 € selon leur lieu de résidence. Cet élargissement touchera notamment les personnes ayant connu le ghetto de Budapest.
Ces mesures toucheront en majorité des survivants qui étaient enfants durant la guerre. La Claims estime que 16000 survivants supplémentaires pourront ainsi prétendre à une pension au titre du Fonds Article 2 ou du Fonds pour l’Europe centrale et orientale.
Pour de plus
 | Les Messages secrets du général de Gaulle Par Jean-Pierre Guéno et Gérard Lhéritier |
Quatrième de couverture
Entre 1940 et 1943, le général de Gaulle est à Londres lorsqu'il ne sillonne pas le Moyen-Orient, l'Afrique ou l'Afrique du Nord pour porter les couleurs de la France Libre. Jour après jour, il envoie ses ordres sous forme de messages secrets à ses compagnons, généraux et cadres dirigeants de la France Libre qui se battent dans les sables du désert et sur l'ensemble des territoires de l'ancien empire colonial français contre les soldats allemands, contre les soldats italiens, et contre d'autres soldats français.
Ces messages secrets, le plus souvent écrits de sa main, sont codés puis télégraphiés par ses services avant de rejoindre un dossier, où ils resteront cachés 70 ans, avant d'être découverts par Gérard Lhéritier et acquis par le Musée des lettres et manuscrits. Porteurs d'émotion et d'histoire ces 313 messages secrets sont tous inédits sous leur forme manuscrite. 30 messages ont été transcrits par Charles de Gaulle en annexe de sesMémoires de guerre, 142 dans ses Lettres, Notes et Carnets, mais 141 messages sont restés totalement inédits. Ils nous rappellent que le destin de la France Libre s'est joué dans des pays qui reviennent aujourd hui sous les feux de l'actualité, tels la Tunisie, le Maroc, l'Algérie, le Sénégal, et surtout le Liban, la Syrie et la Libye. Ils nous rappellent que nous devons aussi notre liberté retr
http://www.charles-de-gaulle.org/pages/posts/livre-les-messages-secrets-du-general-de-gaulle447.php
| | Actualité, Jeu 8 décembre 2011 A partir du 4 janvier au 25 février 2012 à 18 h 30 (sauf dimanche et lundi), le spectacle "PREMIER COMBAT de Jean Moulin " avec Valéry Forestier et Christian Julien mis en scène par Christian Frégnet sera représenté au théâtre du Lucernaire (53 rue Notre Dame des Champs 75006 PARIS).
http://www.fondationresistance.org/pages/accueil/
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Le maire Jean Esmonin et le directeur d'UP Vidéo Jean-Marc Bordet. Photo Frédéric Vaussard
La 12 e édition du Mois du film documentaire s'est terminée mercredi à la salle des fêtes devant plus de quatre cents personnes. Toutes attendaient avec une vive impatience de découvrir les images du nouveau film de Jean-Marc Bordet, réalisé avec UP Vidéo, à la demande de la Ville de Chenôve.
Les Flammes de la mémoire est le dernier volet de la collection Les Derniers Témoins de la résistance et de la déportation. Le maire Jean Esmonin n'a pas caché sa fierté d'accueillir, lors de cette soirée de clôture, Marie-José Chombart de Lauwe, ancienne résistante, ancienne déportée, présidente de la Fondation pour la mémoire de la déportation, et Yves Lescure, directeur de cette fondation, mais aussi MM. Rolinet, Boudias, Mosson et Villeret, de l'Amicale des déportés et des familles de disparus de Natzweiler-Struthof, et les acteurs du film Jacques Fort, Henri Simon, Marcel Suillerot, Michel Thomas, Maurice Voutey et Marie-France Poitevin.
Jean Esmonin a également rappelé la mémoire de deux martyrs qui sont les symboles de cette sombre période de l’histoire : Maxime Guillot, cheminot, militant SFIO, résistant de la première heure, homme d'action intrépide et déterminé qui préféra se suicider au moment de son arrestation par les Allemands en janvier 1944, place Blanqui à Dijon ; et Marcel Naudot, maire de Chenôve, cheminot lui aussi, qui paya de sa vie le fait d'avoir manifesté son patriotisme en s'affichant avec l'écharpe tricolore lors des obsèques de son ami Maxime Guillot au cimetière communal.
Pour le maire, la plus grande originalité de l'action municipale sur le devoir de mémoire réside assurément dans le travail minutieux, rigoureux et exigeant entrepris dans le cadre de l'UP Vidéo de la Ville de Chenôve. Depuis plus de vingt-cinq ans, la municipalité a fait le choix de fixer sur la pellicule mémoire et histoire. Les Flammes de la mémoire représente le sixième film d’une collection inédite pour une ville de cette taille. Pour son réalisateur Jean-Marc Bordet, ces films ont été créés pour servir d'exemple et susciter la discussion. Sa plus grande fierté est de voir qu'ils sont projetés un peu partout en France, y compris dans les collèges.
De l'avis de tous les spectateurs ce soir-là, il est indispensable de continuer à écouter inlassablement ces témoignages poignants pour espérer éveiller les consciences, en tout cas empêcher qu'elles puissent se mettre en sommeil. Ces films sont de véritables invitati
http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2011/12/06/la-pellicule-pour-memoire
Dans les écoles du XIe arrondissement de Paris, l’AMEJD a posé 45 plaques portant les noms et âges de leurs élèves déportés, retrouvés dans les registres scolaires après 10 ans de recherches.
Des centaines d’adultes se sont investis et des milliers d’écoliers avec leurs enseignants ont participé à ce travail.
Dans cet ouvrage, les habitants du XIe retrouveront une part de l’histoire de leur arrondissement. Les lecteurs découvriron
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Mémoire de la Résistance et de la Déportation
cercle.jean.moulin71@sfr.fr
