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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 21:22

 

 
Dimanche 14 Mars 2010 à 9H45
devant le Monument aux morts et de la Déportation,
début des travaux pour l'Assemblée Générale 2010 de
l'Association Départementale des Déportés et Internés, Résistants et patriotes 71
(FNDIRP)
Nuit et Brouillard par Jean Ferrat
aura une profondeur particulière.

Au revoir, mon Frère.
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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 21:19

La seconde guerre mondiale, événement majeur du XXe siècle dans l'ordre du désastre infligé à l'humanité par elle-même, n'a jamais vraiment cessé de nourrir le cinéma. Celui-ci, de Rome ville ouverte, de Roberto Rossellini, à La Liste de Schindler, de Steven Spielberg, en passant par Nuit et Brouillard, d'Alain Resnais, et Shoah, de Claude Lanzmann, en a maintes fois cristallisé les débats historiographiques, politiques, et évidemment esthétiques. La recherche historique, l'avènement du génocide dans la conscience collective, la reconnaissance publique des responsabilités et des crimes ont en même temps fait travailler cette mémoire. Au point que le passage au XXIe siècle aura donné l'impression que l'événement, plus d'un demi-siècle après la libération des camps, entrait enfin, plus ou moins sereinement, ....

http://www.lemonde.fr/opinions/article/2010/03/13/cinema-le-retour-de-la-seconde-guerre-mondiale-et-ses-paradoxes_1318616_3232.html

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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 21:15
Nous commémorons cette année le 65e anniversaire de la libération des camps de concentration nazis. Environ 160.000 personnes furent déportées depuis la France durant la Seconde Guerre mondiale : 75.000 juifs pour motif de persécution et 85.000 autres pour motif de répression (résistants, politiques, droits communs, otages…), 40 % des victimes de la répression ont survécu contre 3,5 % des juifs.


Le camp de Gurs, qui se situait tout près de chez nous, dans le Béarn, a été un maillon dans la chaîne de la Déportation.


Voici ce qu'en dit Claude Laharie, universitaire, qui fait autorité en matière d'histoire du camp de Gurs :


« Dans l'archipel des camps français de la période 1939-1945, le camp de Gurs tient une place éminente, hélas ! Il fut celui dont la durée fut la plus longue : plus de six ans et demi, du 2 avril 1939 au 31 décembre 1945.


Il fut, après les camps d'Argelès et de Saint-Cyprien, un de ceux qui enfermèrent le plus d'hommes et de femmes : 60.000 avant la Libération (1944), 5.000 après.


Il fut le plus vaste, avec celui de Rivesaltes : 80 ha.


Il fut, tout au long de son interminable histoire, le seul à recevoir toutes les catégories de réfugiés, d'exilés et de persécutés de son temps : d'abord les républicains espagnols et basques, chassés de chez eux par le franquisme, ainsi que les volontaires des brigades internationales, puis les « politiques français » et les « indésirables » venus des zones occupées par les nazis, puis les juifs d'Europe centrale et les gitans, puis les femmes suspectées d'avoir ....

http://www.ladepeche.fr/article/2010/03/13/796003-Le-camp-de-Gurs.html

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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 00:40

zoom


Près de deux cents personnes ont participé à l’assemblée générale de la FNDIRP, à Thionville. L’heure est aux inquiétudes et aux revendications pour défendre les droits des déportés, internés, résistants et
....

http://www.republicain-lorrain.fr/fr/GRDC_URWeb_Detail.aspx?iCategorieRedactionnelle=79&iURWeb=2783744

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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 00:37

La déportation et la prostitution forcée

3 mars 2010 Emilie Cartier

Des anciens déportés ont décrit leur survie dans les camps de concentration. Aucune mention n'est jamais faite des bordels. Pour quelles raisons ?

"La vie est belle", "Le Pianiste', "La liste de Schindler", "Si c'est un homme"... Autant d'oeuvres sur cette période extrêmement sombre de notre Histoire. Les conditions de vie dans les camps de déportation ont été relatées par d'anciens prisonniers, ou mises en images. Toutefois, un aspect a souvent été occulté. Celui de la mise en place de bordels par les SS dans ces camps de la mort.

La mise en place des bordels

Dès 1940, les SS -en copiant le système Stalinien sous le goulag- imaginèrent des primes accordées aux prisonniers dont la productivité était la plus importante dans les usines d'armement. D'abord gratifiés par du tabac et des conditions de vie moins difficiles, dès 1941,

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 23:46
MJ-Chombat-de-Lawe-G-Baudouin-D-T-tot.jpg


Chers ami(e)s,

Trois nouveaux sites en lien :

Terre nefface pas leurs visage avec Michel Claverie

http://www.terreneffacepasleursvisages.com/

le camp du Struthof

http://www.struthof.fr/

le Centre d'Interprétation de la Ligne de Démarcation à Genelard (71)

http://www.lignededemarcation.com/

L'heure du repos n'est pas encore arrivée ;)

Grégory Baudouin, Pres. DT 71

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 23:36

logo_afmd.jpg


Le 05/03/2010

Type d'événement : Débat

A 20h. Dans le cadre du projet "Mémoire des résistances et des déportations", conférence d'Anne Sizaire autour de son livre "Les roses du mal. Résistants allemands au nazisme".


Projet porté par l'AFMD (Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation).


Lieu : Bibliothèque Marie-Ghislaine Chassine (ex Lafontaine)
Rue Joseph Blein
69120 Vaux-en-Velin

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 23:33
  Roland Gaillon, mémoire d'un enfant caché
 
 •
Roland Gaillon raconte dans une autobiographie, qui vient de sortir, sa vie d'enfant juif traqué et son douloureux parcours avant de prendre la parole.
 

Il a ouvert la voix en 1993. Roland Gaillon, alors adjoint municipal à la culture, avait fait venir à Châtellerault un spectacle inspiré des Lettres de Louise Jacobson.
Parcourir lui-même ces lettres de l'adolescente juive, passée par Fresnes et Drancy, avant de mourir gazée à Auschwitz, avait libéré quelque chose de profond, assure-t-il… « Je me rendais compte que j'avais les lettres de mes parents et je ne les avais jamais lues. »
 
Des mots
après
un si long silence

 
Dès lors, Roland Gaillon a pris la parole et ne s'est plus jamais tu. Aujourd'hui, à 71 ans, celui qui milite localement avec l'association des Amis de la fondation pour la mémoire de la Déportation couche sur le papier ces souvenirs longtemps


http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=86&num=1563638

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 23:25

Réouverture du Centre d'interprétation de la ligne de démarcation le mercredi 3 mars 2010.

 

Programme du début de saison 2010

 

 

Du mercredi 3 mars au lundi 24 mai 2010

Exposition temporaire

Signes de la collaboration et de la Résistance

Plus de détails ici.

Entrée payante (exposition permanente + exposition temporaire).

 

 

Samedi 6 mars 2010 à 20 h 30

Conférence

Signes de la collaboration et de la Résistance : entre Histoire et Mémoire

Par Nathalie Capuano, professeur agrégé d’histoire-géographie au lycée Mathias de
Chalon-sur-Saône.

Plus de détails ici.

Entrée libre à la conférence.

 

Horaires d'ouverture au public en basse saison

- du mercredi au samedi de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h,

- les dimanches et jours fériés de 14 h 30 à 18 h 30,

- ouvert toute l'année aux groupes, sur réservation préalable.

 

Tarifs d'entrée

- plain tarif : 3 € 40,

- tarif réduit : 2 € 40 (enfants, étudiants, anciens combattants, demandeurs d'emploi, handicapés, carte Cezam, carte Moisson),

- gratuit pour les moins de 12 ans.

 

Renseignements

Centre d'interprétation de la ligne de démarcation

Place du Bassin - 71420 Génelard

Tél. 03 85 79 23 12 ou  info@lignededemarcation.fr

www.lignededemarcation.fr

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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 23:18

samedi 27 février 2010


 Gisele-Giraudet.jpg

 


Morte le 19 février 2003, Gisèle Giraudet n'a jamais assisté aux cérémonies de commémoration organisées par le comité départemental du souvenir, à la mémoire de ces fusillées espagnols enterrés le 14 février 1943, au cimetière de La Chapelle-Basse-Mer.


C'est pourtant grâce à elle, qu'aujourd'hui, les officiels peuvent rendre hommage à ces républicains espagnols morts aux côtés des résistants français (Ouest-France du mardi 16 février).


La famille de Gisèle est originaire de la commune, où ses parents possédaient une ferme. Née à Nantes le 9 mai 1912, elle est dotée d'une forte personnalité. Ses convictions républicaines la poussent à s'engager dans la résistance, sans doute avant
1940, explique sa fille Yvonne, qui sort de ses archives la photo, soigneusement découpée par Gisèle,....

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Le-combat-de-Gisele-pour-les-fusilles-espagnols-_44008-avd-20100227-57748921_actuLocale.Htm

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  • : Mémoire de la Résistance et de la Déportation
  • : il s'agit d'un blog dédié à la Mémoire en général et à la mémoire de la Résistance et de la Déportation en particulier
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