Le ministre de la Propagande du IIIe Reich, Joseph Goebbels, prononce au Palais des sports de Berlin, un discours fleuve pour justifier les choix opérés depuis le début de la guerre par le National socialisme, montrer les dangers représentés par le bolchévisme et appeler le peuple allemand à s’engager dans une guerre totale contre l’Armée rouge, Staline et tout ce que représente le bolchévisme, danger extrême du monde. Il structure son propos dans une ambiance hystérique et devant un parterre militant qui lui est acquis pour convaincre que le nazisme est le seul rempart à l’effroi collectiviste qui bénéficient d’insoutenables complicités juives. Goebbels se répète, martèle ses certitudes, recherche l’effet des mots, attend les réaction enthousiastes à ses envolées calculées et assises sur la discrimination et la persécution de celles et ceux qui, en ne partageant pas les engagements de Berlin, se comportent en traîtres du Reich. Voici l’un des extraits de son appel à la guerre absolue.”Durant les 25 dernières années, l’Union Soviétique a bâti le potentiel militaire du bolchévisme à un niveau inimaginable, un niveau que nous avions mal évalué. La Juiverie terroriste a plus de 200 millions de juifs à son service en Russie. Elle a cyniquement utilisé ses méthodes pour créer à partir du flegmatique peuple russe, un grave danger pour toutes les nations d’Europe. Une nation entière à l’Est a été conduite à la guerre. Des hommes, des femmes et même des enfants sont utilisés non seulement dans les usines d’armement, mais à la guerre proprement dite. 200 millions de vies soumise à la terreur du GPU, à la fois captive d’une opinion diabol

Charles Trang signe un ouvrage magistral sur l’un des points les plus intenses de la Seconde Guerre mondiale dans le Pacifique: Guadalcanal. Il approche dans un strict respect de la chronologie les événements qui ont embrasé cet espace restreint dans un océan Pacifique immense et s’intéresse avec une rigueur exemplaire aux combats menés par la 1re division de marine. Cet ouvrage qui porte le titre en anglais “The Old Breed” (La Vieille Race) mais est écrit en français est publié chez Heimdal, un éditeur dont le sérieux est patent.
Le lecteur est pris dans une histoire bien écrite, soucieuse de la précision des dates et des horaires, qui met en scène les dures réalités des soldats soumis à des conditions infernales d’affrontement. L’autre particularité de ce beau livre est sa richesse iconographique avec des dizaines de photos inédites. Ce sont des documents d’autant plus intéressants qu’un soin particulier a été apporté aux légendes. C’est un indicateur de qualité qui permet de reconnaître les avions, les bateaux, tous les matériels employés à terre pour faire plier l’adversaire et les hommes mobilisés pour les servir.
Il faut être un peu spécialiste de la Seconde Guerre mondiale pour connaître la 1sr Marine Division et l’essentiel de son périple éprouvant au cours duquel elle a compté beaucoup de héros anonymes. Après un rappel des circonstances de la constitution de cette unité et l’importance aux Etats-Unis du Corps des Marines, l’auteur explique comment cette prestigieuse unité est passée d’un régime de temps de paix à un engagement total en raison de la guerre après la puissante attaque de l’aéronavale japonaise contre la base US de Pearl Harbor, le 7 

Le journal britannique “Daily-Mail” affirme avoir rencontré la dernière goûteuse d’Hitler encore en vie. Margot Woelk, 95 ans, confirme que le Führer était végétarien et qu’elle et ses onze camarades étaient étroitement surveillées par les SS.
Cette femme qui avait quitté la capitale du Reich après un bombardement en 1942 s’était réfugiée près de sa belle-mère à Gross Partsch tandis que son mari était au front.
Elle aurait été requise pour devenir goûteuse et transférée de force vers la Tanière du loup. Dans cet entretien, elle indique notamment qu”après l’attentat raté du 20 juillet 1944, la surveillance a encore été renforcée autour de la cuisine et de la nourriture servie à Hitler.
Elle aurait échappé à la mort en montant à bord du train de Goebbels qui regagnait Berlin. Selon ses déclarations, ses collègues auraient été fusillées par l’Ar

Qui dira encore que le général de Gaulle dont les Alliés ne facilitent pas les déplacements auprès de ses troupes ne fait pas preuve de plus d’habileté et de compréhension à l’égard de ceux qui lui formulent des demandes équivalentes?
Le chef de la France combattante montre au général Giraud qu’il est ouvert et écoute les désirs d’officiers supérieurs proches ou très appréciés du préféré de Washington. C’est ainsi que dans un télégramme qu’il envoie à Giraud le 12 février 1943, de Gaulle reconnaît qu’il est informé du souhait exprimé par le général Mast qui commandait la division d’Alger au moment de l’opération Torch et a facilité le débarque

Il n’y a pas que les Britanniques qui débarquent des agents sur la côte corse dans la perspective d’un débarquement allié sur l’île de Beauté. S’il est patent que le sous-marin anglais “Saralem” dépose le 11 février 1943 sur la plage de Cupabia vers Serra di Ferro trois hommes Guy Vertraete, Charles Simon Andréi et Antoine Colonna d’Istria afin d’établir un réseau de renseignement sur les activités italiennes sur le littoral sud, l’équipage de du “Casabianca effectue également plusieurs missions sensibles vers l’île mais aussi sur les côtes de Provence.
Déjà une mission commencée le 31 janvier a été un succès avec le débarquement en Corse de deux agents de renseignements que sont l’adjudant-chef Bozzi et le radio-opérateur Chopitel. Ils amènent avec eux deux postes d’émission et de réception à ondes courtes, plusieurs accumulateurs et convertisseurs de charge et des compléments d’équipement pour des agents déjà sur place.
Le sous-marin doit aussi effectuer des livraisons de mitraillettes et de munitions et acheminer