"MES DROITS" création du Centre de loisirs de Villemomble
.
Il vous invitent à les soutenir dans leurs actions contre l’oubli et pour la défense de leurs idéaux de Paix et de Fraternité.
"Plus jamais ça!"
LA LETTRE
Chers amis,
tion françai- Depuis quelques années, je travaille avec l’Associa
- de Buchenwald-Dora et Kommandos et l’Amicale des An se
pu me ciens Déportés de Mauthausen grâce auxquelles j’ai
familiariser avec le problème de la déportation.
es possibili- Si mon objectif initial était de mieux comprendre l
ons m’ont tés et les conditions de la barbarie, ces associati
ie biologi- permis de prendre conscience des conditions de surv
mes. C’est ques mais aussi spirituelles dans des milieux extrê
hilosophiques de là qu’est née cette réflexion sur les concepts p
elui du à l’épreuve de l’ultime. Le sens d’un terme comme c
autre gra- pardon prend une toute autre coloration, une toute
me celle vité quand il est confronté à une problématique com
du génocide nazi.
survi- Si ce colloque permet de comprendre comment on peut
ée, il donne vre à des conditions extrêmes de bestialité organis
le l’être en aussi à voir toute la grandeur dont peut être capab
souffrance, ses ressources inouïes.
et Kom- Je remercie l’Association française Buchenwald-Dora
’équipe mandos, son président, Dominique Durand, et toute l
e vaste entre- qui travaille à ses côtés, de son soutien dans cett
et sans ré- prise qu’elle a facilitée en m’intégrant pleinement
rbarie. Je serve dans un monde soudé par la lutte contre la ba
t financier. la remercie également pour son soutien logistique e
ns déportés Cette association ainsi que l’Association des ancie
ur jour- de Mauthausen ont également mis à ma disposition le
éactions des nal pour publier un questionnaire da
http://theologie.icl-lille.fr/img/pdf/Programmecolloquelepardon.pdf
Poursuivant un voyage européen de mémoire, je serais ravie de vous rencontrer au vernissage de l'exposition
TEMOIGNER DE CES VIES
Au MEMORIAL de l'internement et de la déportation - Camp de ROYALLIEU
à COMPIEGNE, le 12 février 2011 à 16h
l'exposition durera du 12 février au 1 mai 2011
Des peintures au service de la mémoire
Des peintures écho de toutes les mémoires,
tant de ceux qui ont disparus que de ceux qui en sont revenus
L'exposition sera dédiée symboliquement à plusieurs déportés, qui furent internés au camp de Royallieu, (dont les portraits peints seront exposés), pour représenter et honorer TOUTES LES MEMOIRES :
- A GEORGES CHARPAK, en mémoire des VICTIMES DE LA SHOAH, exterminées du seul fait d’être juives
- A PIERRE MASSE et au PERE RIQUET qui ont résisté et interpellé les consciences
- A BIETSCHIKA GORGAN, en mémoire DES VICTIMES TSIGANES trop souvent oubliées et de leur dignité
- A ANDRE BESSIERE et à FERNAND DEVAUX, en mémoire des déportés RESISTANTS, pour leurs incessants efforts de transmission
Georges Charpak, Pierre Masse, Père Riquet, Gorgan Bietschika, André Bessiere,
Fernand Devaux, Robert Desnos, Geneviève Anthonioz-De Gaule, Elie Wiesel, Simone Veil
Marie-Jo Chombart de Lauwe, Sam Braun, Paul G-M Lévy, Lucie Aubrac, Serge Klarsfeld
Des peintures pour porter la mémoire,
Non pas pour transmettre de la haine,
Mais pour servir de vigie et trouver l’espoir
A travers des peintures de portraits de survivants, je veux symboliser les victimes de tous les génocides, de toutes les intolérances, la souffrance de tout peuple discriminé, celle d'un survivant, celle d'un descendant, mais aussi la souffrance de la Nation
Le dossier presse: http://fmayran.com/uploads/DOSSIERPRESSE-PEINDRE-LA-MEMOIRE.pdf
Le parcours de mémoire continuera ensuite vers la BELGIQUE avec l'exposition "témoins passif, témoins coupables?" reliant plusieurs lieux dont le Fort de Breendonk et la gare de Bootmeerbeek.
D’autres projets se mettent en place, pour tracer de lieu en lieu un chemin de mémoire partagée, avec entre autre le LUXEMBOURG( gare de Hollerich), deux expositions avec les tsiganes sur STRASBOURG et NANCY et un projet avec le CONSEIL DE L'EUROPE, sur la transmission dela mémoire.
Francine MAYRAN
67000 STRASBOURG - FRANCE
+33(0)88 35 20 20 / +33(0)6 35 13 02 40
francine.mayran@gmail.com
Site: http://www.fmayran.com
mardi 11.01.2011, 19:30 - La Voix du Nord
Résistante et déportée pendant la dernière guerre mondiale, Marcelle Fossier, née Martin, s'est éteinte samedi à l'âge de 92 ans.
Dès 1941, alors qu'elle travaillait dans le textile, elle commença à accueillir des résistants FTP (Francs-tireurs et partisans) dans sa maison de la rue Ampère, à Lambersart, et à cacher des armes, des tracts et des tickets de ravitaillement. Arrêtée le 8 juillet 1943 par la police française, elle fut livrée à la Gestapo. Après de nombreux interrogatoires, elle fut internée à la prison de Loos, enfermée pendant cinq mois, seule, dans une cellule. En janvier 1944, la jeune Marcelle Martin fut emmenée au camp d'Hertogenbosch, aux Pays-Bas, puis, en septembre au camp de concentration de Ravensbrück, où elle portait le triangle rouge des déportés politiques et le matricule 66 816. Fin avril 1945, ce fut la "marche de la mort", deux jours sous
Coédité par les éditions Autrement et le ministère de la Défense et des anciens combattants, le "Guide historique d’Auschwitz" est le premier ouvrage en français publié sur le camp d’Auschwitz. Il a reçu le soutien du directeur du musée d’Etat d’Auschwitz-Birkenau , Monsieur Piotr M.A.Cywiński, qui en a rédigé la préface.
L’objectif des auteurs
est de présenter l’étendue et la complexité du camp d’Auschwitz-Birkenau dans un guide.
L'ouvrage décrit le fonctionnement du camp et donne des repères chronologiques aux lecteurs, à partir des premières constructions en 1940, jusqu’à l’arrivée des soldats de l’armée rouge en 1945.
Les circuits proposés permettent aux lecteurs de mieux appréhender le site sur lequel les nazis souhaitaient édifier « une citée idéale national-socialiste ».
Illustré avec les photographies
http://www.defense.gouv.fr/memoire/a-la-une/publication-d-un-guide-historique-sur-auschwitz
"MES DROITS" création du Centre de loisirs de Villemomble
.
Il vous invitent à les soutenir dans leurs actions contre l’oubli et pour la défense de leurs idéaux de Paix et de Fraternité.
Le 1° janvier 2011
Bonjour,
L'Association Française Buchenwald Dora et Kommandos vous invite à lire sa dernière Lettre d'information électronique.
Chers tous,
le blog ne sera pas mis à jour du 28/12/2010 au 05/01/2011.
Bonne année et meilleurs voeux à tous, ainsi qu'à vos proches .
Jean Vion, Administrateur National,
Grégory Baudouin, Président Départemental,
et l'ensemble du bureau .
Jean Vion, administrateur national,
Grégory Baudouin, Président départemental,
l'ensemble du bureau
sont heureux de vous souhaiter un joyeux noel .
samedi 25.12.2010, 05:12 - PAR JEAN-MARIE DUHAMEL
Au milieu d'une assemblée d'universitaires attentifs, Marie-Jo Chombart de Lauwe a su trouver les mots. La conférence est un exercice qu'elle pratique sans interruption depuis sa libération de Mauthausen,en avril 1945 « après trois ans moins un mois de détention ».
Il y a quelques semaines, alors qu'elle était l'invitée d'honneur de l'université de Lille III à Villeneuve-d'Ascq pour une journée d'études consacrée à « La déportation en héritage », pas moins de six interventions l'attendaient dans toute la France ; quelques jours auparavant, elle était intervenue à l'UNESCO pour un colloque sur les viols comme arme de guerre, de l'ex-Yougoslavie aux guerres d'Afrique et d'ailleurs. « Il faut toucher les gens », répète-t-elle.
Elle avait 17 ans quand la Gestapo l'arrêta en avril 1942 pour faits de résistance (réseau Georges France). Un an de détention en France. Neuf mois au secret, rue des Saussaies, dont les locaux abritent toujours des services du ministère de l'Intérieur : les quatre lignes de La Mort du loup de Vigny qu'elle y grava dans une cellule sont toujours visibles, désormais protégés par une vitre. Après, ce sera la déportation en Allemagne, Ravensbrück, le camp des femmes, Mauthausen, taux de mortalité effroyable, d'où elle est libérée en avril 1945. Depuis, elle témoigne, inlassablement, comme témoin, intellectuelle - elle sera directrice de recherches au CNRS -, présidente de la Fondation pour la mémoire de la déportation.
Au terme de la journée d'études lilloise où auront été abordés, dans des approches croisées - historien
Publié le vendredi 24 décembre 2010 à 11H00
Survivant de l'enfer des camps de Sachsenhausen-Orianenburg et de Buchenwald (Kommando de Tekla), Paul Lelièvre vient de s'éteindre à l'âge de 88 ans.
Né à Wadelincourt, de parents enseignants, Paul Lelièvre, après avoir passé un concours de surnumérariat des PTT à Charleville, puis suivi une formation de quatre mois pour devenir contrôleur à Nancy, est tout d'abord affecté à Hirson (Aisne), puis à Paris.
A la suite de la loi instituant le travail obligatoire (STO), il part le 3 juin 1943 pour travailler à la Reichspost de Berlin. Le 1er mars 1944, il est arrêté pour refus de travailler, à la suite de onze punitions antérieures et est envoyé en prison. Fin mars 1944, il est déporté, en train, avec les menottes, vers le camp d'Orianenburg. Il est tondu, reçoit des vêtements rayés affublés du triangle rouge réservé aux détenus politiques et un numéro de matricule. Tous les dimanches, il assiste au lynchage, aux bastonnades et aux pendaisons. Le 4 juillet 1944, il est transféré dans le Kommando de Tekla, qui dépend du camp de Buchenwald. Il y restera dix mois. Le 13 avril 1945, les SS ordonnent l'évacuation de Tekla devant l'arrivée des Soviétiques et des Américains. Paul Lelièvre se retrouve dans un groupe contraint à une marche forcée dans l