Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 14:48
Villeneuve-sur-Lot. L'ADIRP 47 en assemblée
Villeneuve-sur-Lot. L'ADIRP 47 en assemblée
Villeneuve-sur-Lot. L'ADIRP 47 en assemblée
Villeneuve-sur-Lot. L'ADIRP 47 en assemblée

L'Association des déportés, internés, résistants et patriotes de Lot-et-Garonne a tenu son assemblée générale, samedi dernier, salle des combattants de la Maison de la vie associative, en présence notamment de M. Filhol, représentant la FNDIRP, et de Michel Labourdette, président des Amis de la Fondation pour la mémoire de la déportation.

En préambule, la présidente Nadia Titonel citait une phrase de Lucie Aubrac : « La Résistance, ce n'est pas que le passé

http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/03/1005198-L-ADIRP-47-en-assemblee.html

Partager cet article
Repost0
12 janvier 2011 3 12 /01 /janvier /2011 22:18
Lambersart et Lomme : le décès de Marcelle Fossier, figure de la Résistance et du PCF

mardi 11.01.2011, 19:30 La Voix du Nord

| MÉTROPOLE LILLOISE |

Résistante et déportée pendant la dernière guerre mondiale, Marcelle Fossier, née Martin, s'est éteinte samedi à l'âge de 92 ans.

 

 

Dès 1941, alors qu'elle travaillait dans le textile, elle commença à accueillir des résistants FTP (Francs-tireurs et partisans) dans sa maison de la rue Ampère, à Lambersart, et à cacher des armes, des tracts et des tickets de ravitaillement. Arrêtée le 8 juillet 1943 par la police française, elle fut livrée à la Gestapo. Après de nombreux interrogatoires, elle fut internée à la prison de Loos, enfermée pendant cinq mois, seule, dans une cellule. En janvier 1944, la jeune Marcelle Martin fut emmenée au camp d'Hertogenbosch, aux Pays-Bas, puis, en septembre au camp de concentration de Ravensbrück, où elle portait le triangle rouge des déportés politiques et le matricule 66  816. Fin avril 1945, ce fut la "marche de la mort", deux jours sous 

http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Metropole_Lilloise/2011/01/11/article_lambersart-et-lomme-le-d-eacute-c-egrave.shtml

Partager cet article
Repost0
25 décembre 2010 6 25 /12 /décembre /2010 20:20
Décès de Paul Lelièvre La disparition d'un ancien déporté

Publié le vendredi 24 décembre 2010 à 11H00

Survivant de l'enfer des camps de Sachsenhausen-Orianenburg et de Buchenwald (Kommando de Tekla), Paul Lelièvre vient de s'éteindre à l'âge de 88 ans.
Né à Wadelincourt, de parents enseignants, Paul Lelièvre, après avoir passé un concours de surnumérariat des PTT à Charleville, puis suivi une formation de quatre mois pour devenir contrôleur à Nancy, est tout d'abord affecté à Hirson (Aisne), puis à Paris.
A la suite de la loi instituant le travail obligatoire (STO), il part le 3 juin 1943 pour travailler à la Reichspost de Berlin. Le 1er mars 1944, il est arrêté pour refus de travailler, à la suite de onze punitions antérieures et est envoyé en prison. Fin mars 1944, il est déporté, en train, avec les menottes, vers le camp d'Orianenburg. Il est tondu, reçoit des vêtements rayés affublés du triangle rouge réservé aux détenus politiques et un numéro de matricule. Tous les dimanches, il assiste au lynchage, aux bastonnades et aux pendaisons. Le 4 juillet 1944, il est transféré dans le Kommando de Tekla, qui dépend du camp de Buchenwald. Il y restera dix mois. Le 13 avril 1945, les SS ordonnent l'évacuation de Tekla devant l'arrivée des Soviétiques et des Américains. Paul Lelièvre se retrouve dans un groupe contraint à une marche forcée dans l

http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/deces-de-paul-lelievre-la-disparition-dun-ancien-deporte

Partager cet article
Repost0
14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 19:06
Fédération nationale des déportés internés résistants

et Patriotes section Argenteuil

 

 

Maison Jean Moulin 
23 bis rue de Diane 
Contact : Mme Liliane LELAIDIER-MARTON 
Tél : 06 16 70 39 67 
Fax : 01 30 76 99 34 

-  Activité 
Témoignages vivants des acteurs de la Seconde Guerre mondiale, intérêt pour l’histoire et ses séquelles (Résistance, Déportation). 

-  Public concerné 
Tout public 

-  Jours et heures de permanences 
Dernier mardi de chaque mois 17h-18h (sauf juillet, août et septembre). 
Sur rendez-vous. 

http://www.ville-argenteuil.fr/article.php3?id_article=278&PHPSESSID=0b2f950f6fca3aafc45c0c312c93038b

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 20:19
Concours national de la Résistance et de la Déportation Les lycéens se lancent

Publié le samedi 11 décembre 2010 à 11H00

Les lycéens castels vouent un intérêt particulier à l'histoire de France.

Les lycéens castels vouent un intérêt particulier à l'histoire de france

 

LA Fédération nationale des déportés et internés résistants et patriotes (FNDIRP), l'Association pour les études sur la Résistance Intérieure (AERI) et l'Association des anciens combattants et résistants (Anacr) ont conçu une exposition, conférence, débat à destination des lycéens castels.
Sur la base du volontariat
La contribution estudiantine à ce concours est basée sur le volontariat des établissements scolaires et des élèves. Sachant que l'an passé, 524 jeunes adolescents de l'Aisne ont participé au concours sur près de 40 000 au plan national. L'apport pour tous, fédérations, établissements scolaires, enseignants, élèves est purement commémoratif et respectueux de l'histoire du pays

http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/concours-national-de-la-resistance-et-de-la-deportation-les-lyceens-se-lancent

Partager cet article
Repost0
3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 11:24
Nécrologie Michel Rudloff n'est plus

Publié le jeudi 02 décembre 2010 à 11H00

Une vie marquée par l'engagement.

Une vie marquée par l'engagement.

Né le 4 décembre 1927, à Epernay (Marne), Michel Rudloff est, pendant sa jeunesse, très marqué par l'engagement et la déportation de son oncle et sa tante, Jules et Olga Nowak, qui étaient communistes. Typographe à la maison Müller d'Epernay pendant la guerre, il travaille ensuite aux Magasins modernes à Reims. Il se marie en 1952 et a deux enfants.
Il arrive à Château-Thierry en 1957 et gère la station-service Total de Chierry. Il accentue sa vie militante en devenant, en même temps, président du syndicat des détaillants de carburant.
Soucieux du devoir de mémoire, célébré en particulier au passage à niveau de Fossoy, il s'engage avec énergie à la Fédération nationale des déportés et internés, résistants et patriotes (FNDIRP). Il en devient président au décès de François-Xavier Estruch, républicain espagnol résistant et déporté. Dynamique, il développe la section de Château-Thierry et s'intéresse passionnément à la transmission du message auprès http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/necrologie-michel-rudloff-nest-plus

Partager cet article
Repost0
1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 21:59

les faits du mois LE PATRIOTE RÉSISTANT

N° 847 - novembre 2010 4

http://www.fndirp.asso.fr/prix%20marcel%20paul%20-11.pdf

La cérémonie de remise du 23e prix Marcel Paul a eu lieu le 11 octobre dernier à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) à Paris.

Compte rendu.

Rendez-vous attendu de la rentrée, la cérémonie

de remise du prix Marcel Paul a

de nouveau réuni, le 11 octobre, à l’École

des hautes études en sciences sociales

(EHESS) un public de personnalités et

d’amis, nombreux et attentif. Elle était

présidée par Maurice Cling, président

du jury du prix, membre de la présidence

de la FNDIRP.

Ce jury a distingué cette année à l’unanimité,

parmi 7 travaux en lice, le mémoire

de master 1 de Nina Winograd qui

avait pour thème : « Un convoi de déportés

juifs : le transport Drancy-Auschwitz

du 20 janvier 1944 » (1). Au cours de la cérémonie,

le rapporteur du jury, Thomas

Fontaine, devait expliquer que « cette approche

de la Déportation par une monographie

d’un convoi n’a que l’apparence

de la simplicité. Rappeler l’identité de ces

1 153 personnes tout en fournissant une

analyse précise et fiable de leur histoire,

évoquer avec émotion l’intensité de la persécution

et de l’assassinat sans rien céder

aux exigences de la démarche historique,

n’est pas chose facile. Le jury récompense

ainsi un mémoire bien écrit, clair, comprenant

de nombreux outils de travail et

utilisant de manière pertinente les informations

collectées ».

Soutenu à l’Université de Caen sous la

direction du professeur Jean Quellien,

ce mémoire (dont nous avons publié des

extraits dans notre précédent numéro)

démontre que « si l’historiographie de

l’application de la “solution finale” en

France occupée est riche (…), certains de

ses champs peuvent et doivent encore être

complétés », a ajouté Thomas Fontaine.

N’oublions pas une autre caractéristique

de ce travail, le fait que l’arrière-grandmère

de Nina Winograd ait été déportée

dans ce convoi et gazée à Birkenau.

Et que quatre autres membres de cette

famille ont également disparu. Pour

le rapporteur du jury cette « sensibilité

particulière rejoint celle des promoteurs

du prix Marcel Paul et démontre que mémoire

et histoire peuvent s’accompagner

et susciter de riches résultats ».

Dans ses remerciements à la FNDIRP,

la lauréate évoqua bien entendu cette histoire

familiale dramatique qui a motivé sa

recherche lorsqu’il fallut choisir un thème

pour son mémoire mais également

son désir de faire oeuvre d’historienne.

« L’attribution du prix Marcel Paul est un

enco http://www.fndirp.asso.fr/prix%20marcel%20paul%20-11.pdf

Partager cet article
Repost0
1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 21:57

les faits du mois LE PATRIOTE RÉSISTANT

N° 847 - novembre 2010 4

La cérémonie de remise du 23e prix Marcel Paul a eu lieu le 11 octobre dernier à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) à Paris.

Compte rendu.

Rendez-vous attendu de la rentrée, la cérémonie

de remise du prix Marcel Paul a

de nouveau réuni, le 11 octobre, à l’École

des hautes études en sciences sociales

(EHESS) un public de personnalités et

d’amis, nombreux et attentif. Elle était

présidée par Maurice Cling, président

du jury du prix, membre de la présidence

de la FNDIRP.

Ce jury a distingué cette année à l’unanimité,

parmi 7 travaux en lice, le mémoire

de master 1 de Nina Winograd qui

avait pour thème : « Un convoi de déportés

juifs : le transport Drancy-Auschwitz

du 20 janvier 1944 » (1). Au cours de la cérémonie,

le rapporteur du jury, Thomas

Fontaine, devait expliquer que « cette approche

de la Déportation par une monographie

d’un convoi n’a que l’apparence

de la simplicité. Rappeler l’identité de ces

1 153 personnes tout en fournissant une

analyse précise et fiable de leur histoire,

évoquer avec émotion l’intensité de la persécution

et de l’assassinat sans rien céder

aux exigences de la démarche historique,

n’est pas chose facile. Le jury récompense

ainsi un mémoire bien écrit, clair, comprenant

de nombreux outils de travail et

utilisant de manière pertinente les informations

collectées ».

Soutenu à l’Université de Caen sous la

direction du professeur Jean Quellien,

ce mémoire (dont nous avons publié des

extraits dans notre précédent numéro)

démontre que « si l’historiographie de

l’application de la “solution finale” en

France occupée est riche (…), certains de

ses champs peuvent et doivent encore être

complétés », a ajouté Thomas Fontaine.

N’oublions pas une autre caractéristique

de ce travail, le fait que l’arrière-grandmère

de Nina Winograd ait été déportée

dans ce convoi et gazée à Birkenau.

Et que quatre autres membres de cette

famille ont également disparu. Pour

le rapporteur du jury cette « sensibilité

particulière rejoint celle des promoteurs

du prix Marcel Paul et démontre que mémoire

et histoire peuvent s’accompagner

et susciter de riches résultats ».

Dans ses remerciements à la FNDIRP,

la lauréate évoqua bien entendu cette histoire

familiale dramatique qui a motivé sa

recherche lorsqu’il fallut choisir un thème

pour son mémoire mais également

son désir de faire oeuvre d’historienne.

« L’attribution du prix Marcel Paul est un

encouragement de plus à persévérer dans

cette voie », assurait Nina Winograd, qui

continue ses recherches sur la déportation

des juifs de France par la rédaction

d’un master 2. Aider les jeunes chercheurs

est bien l’objectif du prix Marcel Paul, ce

qui fait sa valeur. Sa rareté également, relevait

Stéphane Audoin-Rouzeau, directeur

d’études à l’EHESS, représentant

François Weil, président de la grande institution

qui recevait une nouvelle fois la

Fédération. L’historien spécialiste de la

guerre et des violences de masse constatait

en effet qu’il est « rare et précieux », à

une époque où la recherche en sciences

humaines et sociales se trouve dans une

situation difficile, qui affecte par contrecoup

les jeunes universitaires, de voir

l’une d’entre eux distinguée à un niveau

précoce de la recherche, celui du master

1 en l’occurrence, ce qui constitue donc

un bel encouragement.

Le souci constant de pédagogie et de

transmission de la mémoire de la FNDIRP

fut également souligné par Frédérique

Neau-Dufour, conseillère Mémoire au

cabinet d’Hubert Falco, qui représentait

le secrétaire d’État à la Défense et aux

Anciens Combattants.

Au nom de la FNDIRP, Anita Baudouin,

secrétaire nationale, retraça pour sa part

la vie extraordinaire et les engagements de

celui qui a donné son nom au prix, Marcel

Paul. « Ce prix est un hommage, mais un

hommage vivant, précisait-elle. Fidèle à la

mémoire de Marcel Paul, la FNDIRP l’inscrit

dans le combat pour une République

sociale dont les contours furent tracés par

le Conseil national de la Résistance ». Elle

ajoutait en conclusion : « Puisse la lauréate

être fière de ce prix et porter haut le message

d’optimisme en alerte » qui était celui

de Marcel Paul.

La soirée s’acheva par la brillante prestation

des musiciens et chanteurs de la

compagnie Adama, qui, sous la direction

d’Ilan Zaoui, puise son inspiration dans

le patrimoine des diverses communautés

juives et de leurs histoires souvent meurtries.

En témoigne le poignant Chant des

partisans juifs du ghetto de Vilno, qui a

profondément ému l’assistance.

De nombreux responsables de fondations,

d’associations et d’amicales de camps assistaient

à cette 23e remise du prix ainsi

que les représentants du maire de Paris,

de l’ONAC et de la DMPA ainsi que de

l’UMIF. Rappelons encore que cette cérémonie

2010 était placée sous le patronage

de Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement

supérieur et de la Recherche, d’Hervé

Morin, ministre de la Défense et d’Hubert

Falco, secrétaire d’État à la Défense et aux

Anciens Combattants. n

(1) Le jury a en outre attribué des encouragements

aux auteurs de trois

mémoires dont il a apprécié la qualité

: à Pierre-Emmanuel Dufayel

(Université de Caen) pour son master

2 sur les femmes de France déportées

par mesure de répression ; à

Benoît Luc pour son master 2 (Caen) sur

les internés d’honneur ou « personnalités-

otages » déportés vers le Reich

et à Nicole Rudolph (Paris I) pour son

master 2 sur la pratique de la foi chrétienne

dans les camps de concentration

nazis.

Le prix Marcel Paul, un encouragement

« rare et précieux »

en faveur de la recherche

À la tribune lors de la remise du prix Marcel Paul, de g. à d. : Thomas Fontaine,

rapporteur du jury du prix, Frédérique Neau-Dufour, conseillère Mémoire au cabinet du

SEDAC , Maurice Cling, président du jury, Stéphane Audoin-Rouzeau, directeur d’études

à l’EHESS , Anita Baudouin, secrétaire nationale de la FNDIRP .

De g. à D. : Robert Créange, secrétaire général de la FNDIRP , la lauréate Nina

Winograd, Frédérique Neau-Dufour et Marie-Jo Chombart de lauwe, membre de

la présidence de la FNDIRP et présidente de la FMD .

Photos Claude Fath.

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2010 6 13 /11 /novembre /2010 12:22

Jean-Claude Vitran et Jean-Pierre Dacheux

 

 

Pacte citoyen pour les droits.



En tant qu’organisations associatives et syndicales, nous n’avons vocation ni à exercer le pouvoir ni à construire des programmes politiques. Il nous revient en revanche, en toute indépendance, de faire entendre la voix de la société civile ; d’interpeller ceux qui sollicitent les suffrages des citoyens. Car le débat public doit se développer pour construire des réponses claires, nouvelles, en phase avec les attentes et les revendications dont nous sommes porteurs, en phase avec l’intérêt général.

Les gouvernants tiennent leur légitimité du suffrage universel. Mais ils n’ont pas reçu mandat de remettre en cause les libertés, d’organiser la fragmentation sociale, de désigner des groupes sociaux entiers comme boucs émissaires de l’insécurité. Rien ne peut justifier qu’un nombre croissant de nos concitoyens se trouvent placés en situation d’illégalité pour vivre, de travailler dur pour se retrouver menacé par la pauvreté, d’être en situation de risque dès qu’il s’agit de défendre ses droits.

Or nos droits, nos libertés sont attaqués, fragilisés, remis en cause. Chaque jour un peu plus, la manière dont le pouvoir est exercé piétine les valeurs républicaines et menace l’effectivité de la démocratie. La mise en avant de crises bien réelles, écologiques, sociales, financières, ne saurait servir d’alibi à la régression des droits.

Nos organisations placent au coeur de l’éthique démocratique les libertés individuelles et collectives, le respect de l’égalité et l’effectivité des solidarités. C’est pourquoi nous considérons que le temps est venu de réagir et de construire un nouveau vivre ensemble, un nouveau contrat citoyen.

Il y a urgence.

Lorsque les pouvoirs sont concentrés à l’Elysée, les contre-pouvoirs indépendants affaiblis voire menacés de disparition (Défenseure des enfants, CNDS, Halde), le dialogue social bousculé voire réduit à une formalité, le mouvement associatif sommé de souscrire à une logique marchande d’appels d’offres, les collectivités territoriales menacées d’un retour de la tutelle (substitution d’office pour imposer la vidéosurveillance)… la démocratie est privée d’oxygène.

Avec la traque des sans papiers, le durcissement incessant des conditions d’accès au séjour, les tests ADN, la propagande nauséabonde sur le thème de l’« identité nationale » étatisée, les encouragements à la délation, le ciblage des « délinquants de la solidarité »… une véritable xénophob http://resistancesetchangements.blogspot.com/2010/11/il-est-temps-de-sengager-avec-le-pacte.html

Partager cet article
Repost0
26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 10:33
«Prévenir les jeunes du risque des extrémismes»

pierre filhol

«Prévenir les jeunes du risque des extrémismes»
«Prévenir les jeunes du risque des extrémismes»
«Prévenir les jeunes du risque des extrémismes»

Président départemental de la Fédération nationale des déportés, internés, résistants et patriotes (FNDIRP), l'Agenais Pierre Filhol a assisté aux débats du congrès national de l'ANACR (Association des anciens combattants et amis de la Résistance), qui s'est tenu ce week-end à Agen. Il en est ressorti conforté dans ses objectifs.

Que retenez-vous de ce congrès ?

Des éléments essentiels, notamment concernant la nécessité de transmettre le devoir de mémoire aux jeunes générations, aux collégiens, lycéens et étudiants.

Mais les jeunes d'aujourd'hui se sentent-ils vraiment concernés par ces questions mémo http://www.ladepeche.fr/article/2010/10/25/934583-Prevenir-les-jeunes-du-risque-des-extremismes.html

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Mémoire de la Résistance et de la Déportation
  • : il s'agit d'un blog dédié à la Mémoire en général et à la mémoire de la Résistance et de la Déportation en particulier
  • Contact

Recherche