Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
17 juin 2011 5 17 /06 /juin /2011 16:52

 Du 18 au 22 juin 2011, la Fondation pour la Mémoire de la Shoah participera à la réunion du Groupe de travail international sur la Shoah en matière d’éducation, de mémoire et de recherche. Cette task force regroupe aujourd’hui 28 états membres. Plusieurs autres pays sont

http://www.fondationshoah.org/FMS/spip.php?article1565

Partager cet article
Repost0
16 juin 2011 4 16 /06 /juin /2011 16:13

 du Devoir de Mémoire

 




 
 
 
 
 
 
 Association mémorielle nationale, structurée en délégations régionales, nous portons la mémoire de la déportation pour homosexualité et oeuvrons pour une meilleure connaissance de celle-ci. Nous sommes reconnu-e-s par les institutions, en particulier par la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. À l'origine, en France, des grandes actions mémorielles en ce sens, l'association agit auprès des autorités publiques, ainsi que des acteurs du monde L.G.B.T. et de la Mémoire. Outre une participation régulière aux commémorations, nous répondons au besoin d'information des particuliers et des collectivités en mettant notre savoir à disposition, notamment avec une exposition itinérante. En 2011, nous avons lancé une campagne de recherches dans les archives de la Déportat 
 
 http://associations-v2beta.paris.fr/searchasso/jsp/site/Portal.jsp?page=searchasso&id=4671&domaine=culture%20%26%20education&secteurGeo=paris%208&publicViseFacetable=etudiants 
Partager cet article
Repost0
14 juin 2011 2 14 /06 /juin /2011 22:47


 du mardi 17 mai 2011

 

Jacques CHUPIN avait 21 ans quand il connu l’enfer des camps nazis. Membre de l’Association des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation de Maine et Loire, auteur d’un ouvrage « Face à l’inimaginable », il s’est proposé de venir raconter sa vie. Il nous a parlé de sa jeunesse à la Pommeraye, de l’ambiance de dénonciation , de calomnie qui préparait de "drôles d'années". Il nous a parlé de son refus du STO. Nous l'avons suivi jusqu’à Berlin au camp de Sauchenhausen. Plus qu’une rencontre importante, une rencontre nécessaire. Pour ne pas oublier…

L'enseignant Raphaël EON

  1. Comment doit-on vous appeler ?

Nous devons l’ appeler M. Jacques CHUPIN

 

  1. Quel âge avez-vous?

M. CHUPIN va avoir 90 ans dans 1 semaine. Il est né en 1921 et nous sommes en 2011 2011-1921=90

 

 

  1. Pourquoi voulez-vous parler des camps?

Au début, il s’est tu parce qu’il pensait que les personnes n’allaient pas croire que les camps de concentration étaient si terribles mais, après, il a raconté ça pour garder le souvenir, en espérant qu’il n’y aurait plus de guerre ni de camps de concentration.

 

Avant la guerre
  1. Quel métier faisiez vous ?

Il était maçon dans une entreprise créé par son grand père en 1819 transmise de père en fils. Il l’a laissée à son fils à son départ à la retraite. Son arrière grand-père était tailleur de pierre. Il était venu à Montjean et à la Pommeraye pour la construction des églises. Ses petits fils ne seront pas maçons. L’un est architecte et l’autre électronicien .

  1. Où habitiez vous ?

Il habitait à la Pommeraye. C'est une petite ville de Maine et Loire près de Montjean et des bords du fleuve La Loire.

  1. De quelle religion êtes vous ?

 Je suis de religion catholique et ma mère l’était encore plus que moi. Mon oncle, que je n’ai pas connu avait envoyé des lettres de la guerre 14 18, que ma mère avait soigneusement recopiées et avait mises dans un coffre qu’elle m’a cédé. Dedans, il y avait plus de 130 lettres. Dans une de ces lettres, l’oncle demandait que sa descendance soit « de bons patriotes et élevée dans la religion catholique ».

  1. Comment avez-vous appris le début de la guerre?

Mes parent étaient aisés et m’avait envoyé au collège de Saint Laurent sur Sèvre en Vendée. Au collège, à la radio, on entendait Hitler crier. Je compris que cet homme était dangereux et que la guerre allait arriver.

  1. Quel âge aviez vous ?

M.CHUPIN avait 18 ans en 1939 avant la guerre.

  1. Vous attendiez vous à la guerre ?
    Non car le gouvernement faisait tout pour rester en paix contre l'Allemagne jusqu'à ce que l'Allemagne attaque la Pologne en septembre 1939 et que la France essaye d'aider les Polonais. La France a été vaincue. Il y a eu « la débâcle » puis l'occupation.
    L'oncle de M.CHUPIN était un poilu de 14 et sa mère était très patriote. Quand les 

     

http://ec-pub-brainlonguenee-49.ac-nantes.fr/lesclasses/CM/jchupin/jchupin.htm

Partager cet article
Repost0
13 juin 2011 1 13 /06 /juin /2011 01:59

 Le Concours national de la Résistance et de la Déportation vise à perpétuer chez les collégiens de troisième et les lycéens la mémoire de la Seconde Guerre mondiale. Le thème du concours 2011-2012 est « Résister dans les camps nazis » (voir la note de service publiée au BOEN). La Fondation pour la Mémoire de la Shoah est l’un des partenaires du CNRD.

 

http://www.fondationshoah.org/FMS/spip.php?article1557

 

 

 

Enseignements primaire et secondaire
  • Imprimer
  • Agrandir la police

Actions éducatives

Concours national de la Résistance et de la déportation - année 2011-2012
NOR : MENE1112946N
note de service n° 2011-079 du 7-6-2011
MEN - DGESCO B3-4


Texte adressé aux rectrices et recteurs et vice-recteurs d'académie ; aux inspectrices et inspecteurs d'académie-directrices et directeurs des services départementaux de l'Éducation nationale 
Référence : arrêté du 21-12-2009, publié au J.O. du 21-1-2010 et au B.O. du 18-2-2010


Le concours national de la Résistance et de la déportation (CNRD) a été créé officiellement en 1961 par Lucien Paye, ministre de l'Éducation nationale, à la suite d'initiatives d'associations et particulièrement de la Confédération nationale des combattants volontaires de la Résistance (CNCVR). Ce concours a pour objectif de perpétuer chez les jeunes Français la mémoire de la Résistance et de la déportation afin de leur permettre de s'en inspirer et d'en tirer des leçons civiques dans leur vie d'aujourd'hui.
Pour l'année 2012, le jury national a arrêté le thème suivant :
« Résister dans les camps nazis ».
On présentera les différentes formes qu'a pu prendre cette résistance et les valeurs qu'en transmettent les déportés par leurs témoignages.
Règlement du concours national de la Résistance et de la déportation - année scolaire 2011-2012
1. Élèves pouvant participer au concours
Le concours national de la Résistance et de la déportation est ouvert aux élèves des établissements publics et privés sous contrat :
- collèges ;
- lycées d'enseignement général et technologique ;
- lycées professionnels ;
- lycées de la défense ;
- lycées agricoles ;
- établissements français à l'étranger.
Sont concernés :
- au collège, les élèves des classes de troisième uniquement ;
- au lycée, les élèves de toutes les classes.
Peuvent également participer au concours :
- les jeunes placés dans les centres éducatifs fermés ;
- les mineurs et jeunes majeurs scolarisés dans les établissements pénitentiaires.
2. Catégories de participation
Partager cet article
Repost0
9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 14:10
Juste parmi les Nations
Gabriel Cailac

Dossier Yad Vashem : 11812 
Remise de la médaille deJuste : 29/05/2011 
Sauvetage : La Besace 08450 - Ardennes
Profession: Tenancier du café-restaurant de La Bagnole à La Besace
Religion : Protestant

[Créer un nouvel article et/ou ajouter une photo]

Gabriel-Cailac
Les Justes de France au Panthéon

source photo : YV _ FMS
crédit photo : D.R.

Notice

Gabriel* et Sara Cailac* habitent à La Besace.
Gabriel*, gantier avant la guerre, et Sara Cailac* tenait le café-restaurant de La Bagnole à La Besace.

David Nathanson, russe réfugié en France en 1925. David Nathanson est ouvrier maroquinier avant la à Paris. Avec son épouse Lyba, couturière, et leur fille,Raymonde, ils habitent rue de Turenne.
Le 14 mai 1941 il est frappé par la rafle dite du "billet vert" qui vise les hommes juifs étrangers, dont beaucoup s’étaient pourtant portés combattants volontaires en 1939 aux côtés de l’armée française.
Il est interné au camp de Joué, en Gironde, lorsqu’on lui propose d’être libéré à condition de s’engager comme ouvrier agricole "aux Ardennes", et en échange d’une promesse de protection pour sa famille. Il accepte, ainsi que tous ses camarades.

Il arrive le 29 mars 1942 à Bulson. Il y est rejoint par son épouse, Lyba-Esther, et sa fille Raymonde le 18 juillet suivant.

Raymonde fréquente l’école du village dont le directeur est M. Lecuivre.
En avril 1943, les parents Drager et leurs deux fillettes âgées de 6 et 8 ans sont arrêtés à Bulson.

Gabriel Cailac*, cafetier de La Bagnole à la Besace, fait aussi des transports de grains et d'engrais pour la coopérative de Douzy. C’est ainsi que David Nathanson fait sa connaissance lors d'une tournée à Bulson et que les deux hommes sympathisent.
En juin 1943, David et Lyba Nathanson demandent à Gabriel Cailac* de sauver leur petite fille Raymonde, âgée de 7 ans.

"Mes parents m'ont dit que ces gens allaient bien s'occuper de moi et qu'ils viendraient bientôt me rechercher", se souvient Raymonde.

Sara Cailac*, protestante pratiquante, généreuse et appréciée de tous, recueille Raymonde et l'élève comme sa propre fille Évelyne.
Raymonde devient leur cousine parisienne qui est là "parce qu'à Paris on ne mange pas".

David et Lyba Nathanson sont raflés en ja

http://www.ajpn.org/juste-Gabriel-3215.html

Partager cet article
Repost0
9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 14:06

Poupard Pierre est né le 22 janvier 1902 au domicile de ses parents rue de Burge à Bourbon-l'Archambault (03). Son père André et sa mère Anne née CATON sont épiciers.

Incorporé le 10 mai 1922 il est affecté à la Section d'Etat Major et Recrutement GMP (Gouverneur Militaire de Paris) et démobilisé le 10 novembre 1923.

Le 11 août 1928 il épouse Madeleine BOUCHER à Paris (7ème).

Il est rappelé le 12 février 1940, classé affecté spécial et démobilisé le 23 juillet 1940.

Il est expert comptable et est domicilié à Epernay (51) depuis février 1938. Il entre dans la Résistance aux FFI (Forces Françaises de l'Intérieur) le 28 février 1943. Il est arrêté 17 mars 1944 par la Gestapo à Reims «pour trafic de fausses cartes d'identité et transport d'armes parachutées». Il est interné à Reims jusqu'au 30 mai, puis à Châlons-sur-Marne jusqu'au 7 juin, date à laquelle il est transféré à Compiègne.

Le 18 juin 1944 il est déporté 

http://www.afmd-allier.com/PBCPPlayer.asp?ID=638236

Partager cet article
Repost0
9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 13:50
Colloque international - 
Du mar. 7 au jeu. 9 juin 2011 - INHA, Paris - Le procès d’Adolf Eichmann s’ouvrit à Jérusalem le 11 avril 1961. Il a constitué pour la première fois le génocide des Juifs en événement distinct dans la Seconde Guerre mondiale et l’a fait entrer dans la conscience collective. Ce colloque international, qui rassemble les meilleurs spécialistes allemands, américains, israéliens, français… de la question, est consacré à la médiatisation du procès par la presse écrite, la radio, la télévision, ainsi qu’à ses multiples postérités historiographiques, artistiques, littéraires, philosophiques et juridiques.

Co-organisation HiCSA (Histoire culturelle et sociale de l’art) et IRICE (Identités, relations internationales et civilisation de l’Europe ) 
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, de la Région Ile-de-France et de la Fondation Maison des Sciences de l’Homme.

- Télécharger le programme du colloque (pdf)



Colloque international 
Le procès Eichmann, réceptions,médiations, postérités 
Mardi 7, mercredi 8 et jeudi 9 juin 2011

Auditorium de l’Institut n

http://www.fondationshoah.org/FMS/spip.php?article1547

Partager cet article
Repost0
5 juin 2011 7 05 /06 /juin /2011 12:12

 


  
  

 

est né le 29 janvier 1923 au domicile de ses parents aux Carrières à Vareilles (71). Son père Claude est cordonnier et sa mère Louise née CHARNAY est sans profession.

Domicilié 40, rue du Maréchal Joffre à Vichy (03) il exerce la profession de charcutier et part au Chantier de Jeunesse de mars 1943 à novembre 1943.

 
Réfractaire au STO (Service du Travail Obligatoire) il entre sous le nom de René CHAPUIS au Groupe Didier commandé par le colonel PRIVAT alias DIDIER.
 
 

Il change de nom, mais conserve le même prénom. Le jour et le mois sont exacts, mais il s'est rajeuni de 3 ans.

Enfin le lieu de naissance choisi est Dunkerque, ce qui est invérifiable, car les archives de l'état civil de Dunkerque ont été détruites en 1940.

 
 

Selon une attestation de deux responsables de Combat et des M.U.R. (Mouvements Unis de Résistance), René COILLAUDIN «a accompli de périlleuses missions de liaison auprès d'officiers des maquis de Châtel-Montagne et Lavoine ainsi qu'aux Bois-Noirs où il a convoyé des réfractaires au STO jusqu'à son arrestation à Clermont-Ferrand le 11 mai 1944».

Selon une attestation d'André MANDART, ex-chef des maquis de Châtel-Montagne (03) il est arrêté «alors qu'il portait des plis à la boîte postale du réseau Goélette chez Madame de LA CHAPELLE, avenue Charasse».

 

Il est arrêté le 11 mai 1944 Place de Jaude à Clermont-Ferrand

http://www.afmd-allier.com/PBCPPlayer.asp?ID=638023

Partager cet article
Repost0
2 juin 2011 4 02 /06 /juin /2011 06:38

Le geste des Cailac gravé à jamais

Publié le mardi 31 mai 2011 à 11H00

Robert Maignan et Raymonde Nathanson. Entre eux deux (derrière), Michel Harel, ministre près l'ambassade d'Israël à Paris.

Robert Maignan et Raymonde Nathanson. Entre eux deux (derrière), Michel Harel, ministre près l'ambassade d'Israël à Paris

Sans les Cailac, la petite Raymonde aurait sans doute été déportée avec ses parents. Dimanche, on remettait la médaille des Justes à titre posthume à ce couple si discrètement héroïque.

GABRIEL et Sara Cailac ne sont plus là. Ils sont aujourd'hui décédés. Dommage qu'ils n'aient pu recevoir de leur vivant les honneurs qui leur ont été rendus, dimanche matin, à la mairie de Mouzon, par Michel Harel, ministre près l'ambassade d'Israël à Paris, pour avoir sauvé des camps de déportation une petite juive, alors âgée de 6 ans. Durant trois ans, à la Besace, en pleine occupation, ils ont réussi à faire croire que la jeune Raymonde était une cousine de Paris.


Ses parents, morts à Auschwitz un peu plus tard, l'avaient confié à Sara et Gabriel Cailac, cafetiers à la Besace, en les suppliant de sauver leur fille de la déportation. « Mes

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/mouzon-remise-de-la-medaille-des-justes-de-france-le-geste-des-cailac-grave-a-jamai

Partager cet article
Repost0
2 juin 2011 4 02 /06 /juin /2011 06:37
le 29/05/2011 à 00:00 par Émilie Lett

Vu 3 fois

L’AFMD multiplie les actions sur le devoir de mémoire

Les Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation (AFMD) du Haut-Rhin s’est réunie vendredi dernier en assemblée générale dans la salle de réunion du lycée Charles Pointet de Thann, avec le soutien de la proviseur, Madeleine Meyer.

Les Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation (A
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Mémoire de la Résistance et de la Déportation
  • : il s'agit d'un blog dédié à la Mémoire en général et à la mémoire de la Résistance et de la Déportation en particulier
  • Contact

Recherche