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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 14:09


A l’âge de 98 ans, Rudolf Brazda est décédé mercredi 3 août. La Ville de Puteaux avait eu l’honneur de recevoir, le 28 avril, celui qui était le dernier survivant connu des déportés pour motif d’homosexualité durant la Seconde Guerre mondiale. 

Né en 1913 en Allemagne d’une famille tchèque, déporté en 1942 au camp de concentration nazi de Buchenwald en raison de son homosexualité, Rudolf Brazda avait livré lors de sa venue au Collège Maréchal Leclerc un témoignage bouleversant sur sa vie et ses 32 mois d’enfer dans le camp. Vivant en Alsace depuis la Libération, apatride, il fut naturalisé français en 1960. 

A l’occasion de sa venue à Puteaux, étaient notamment présents aux côtés de Joëlle Ceccaldi-Raynaud et de nombreux élus de la municipalité, Jean-Luc Romero, Président des Elus locaux contre le sida (ELCS), Marie-José Chombart de Lauwe, Présidente de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation, Raymond Aubrac, ancien résistant et déporté, des présidents d’associations patriotiques, des collégiens et des professeurs des écoles. 


Rudolf Brazda à Puteaux le 28 avril 2011 

Ce jour-là, Rudolf Brazda se vit remettre les insignes de Chevalier de la Légion d’Honneur. Il dit alors « recevoir ce prix au nom de tous ceux qui ont connu les mêmes souffrances que moi ». 

Celles et ceux qui ont rencontré le dernier « triangle rose »* et écouté son témoignage garderont à jamais en

 

http://www.mairie-puteaux.fr/index.php?id=122&actu_id=2269

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 09:04

Notre président (ancien casque bleu en Bosnie), a assisté mardi 19 juillet 2011 aux Invalides - aux côtés des plus hautes autorités de l’État, des élus de la République, de militaires et d'associations du monde combattant et de la mémoire - au dernier hommage de la Nation rendu aux sept militaires tués en Afghanistan la semaine dernière.

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 09:02

et d’hommage aux Justes de France

Dans le cadre de la Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français et d’hommage aux Justes de France, Les "Oublié-e-s" de la Mémoire ont assisté à plusieurs cérémonies (Paris 3ème, Fossoy et Drancy). Dimanche 17 juillet, notre président national et une délégation ont participé à la cérémonie nationale qui s'est tenu au monument commémoratif de la rafle du Vél’ d’hiv’ à Paris.

Un millier de personnes, pour la plupart de la communauté juive de France, ont assisté dimanche à Paris à une émouvante cérémonie d'hommage aux victimes de la rafle du Vel d'Hiv en 1942, a constaté un journaliste de l'AFP.

Des gerbes de fleurs ont été déposées devant le monument commémoratif de la rafle des 16 et 17 juillet 1942 au Vélodrome d'Hiver, où plus de 13.000 juifs avaient été retenus prisonniers, avant leur acheminement dans les camps d'Auschwitz et Birkenau.

Des chapiteaux avaient été installés au square des Martyrs juifs, à proximité de l'endroit où se dressait le Vel d'Hiv, sur une place jouxtant la Seine. D'anciens déportés, ainsi que des descendants de ceux qui ne sont jamais revenus des camps, assistaient à la cérémonie, en présence notamment de Simone Veil.

L’assistance fut saisie d’émotion à l’écoute de Madame Veillith, évoquant sa grand-mère, protestante, née Dora Rivière, médecin ophtalmologiste qui, dès 1941, s’est engagée dans la Résistance. Elle a créé des filières de sauvetage permettant de cacher un nombre d’enfants juifs, avec l’aide de son frère, propriétaire d’une société de transport, notamment à Chambon-sur-Lignon. [discours intégral]

Cette rafle est le "symbole de la collaboration de la France avec un régime assassin" et "entache de sa marque indélébile l'histoire nationale (...) à ne jamais oublier", a déclaré Raphaël Esrail, président de l'Union des déportés d'Auschwitz. 
Il a ensuite plaidé pour la création d’un espace muséographique sur le site d’Auschwitz-Birkenau, tout en respectant l’authenticité des lieux : «Nous haïssons Birkenau mais une partie de nous-même est restée la bas». Il a fait part du soutien qui lui est apporté par des survivants à travers l’Europe, de Simone Veil, Présidente d’Honneur de l’UDA et des institutions françaises telles la Fondation pour la Mémoire de la Shoah (FMS) et le C

 

http://www.devoiretmemoire.org/actualites/reportages/2011/vel-d-hiv_17juil2011/20110717.html

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 09:00


Dans le cadre du 67ème anniversaire de la Libération de la France, Les "Oublié-e-s" de la Mémoire participeront aux différentes commémorations rappelant la Libération des villes de Toulouse (19-20 août), Grenoble (22 août), Paris (25 août), Saint-Etienne (2 septembre), Lille (3 septembre), Nancy (15 septembre), Mulhouse (21 novembre) et Strasbourg (23 novembre).  



Rappel Historique : 

 

Libération de la France (1944-1946)

La libération de la France intervient après quatre années d'occupation. Elle se déroule selon un scénario qui était certainement espéré, mais qui n'était pas le mieux assuré. Les Alliés et les résistants prévoyaient une bataille prolongée. La Résistance était atomisée et ses principales composantes se disputaient de plus en plus vivement sa direction. Le risque de chaos était grand. Or l'essentiel du territoire national est libéré en deux mois, entre juillet et septembre 1944, sans guerre civile, sous l'autorité d'un pouvoir légitime. En l'espace d'un an, l'épuration est en grande partie achevée, le processus électoral est rétabli, des réformes profondes sont entamées et la France est reconnue comme l'une des quatre puissances victorieuses.

 

 

La libération s'est faite progressivement en France après les débarquement en Normandie (juin 1944) et en Provence (août 1944).

Libération de Paris : Le 15 août, alors que les alliés sont aux portes de la capitale, la police parisienne se met en grève à l'appel d'organisations policières résistantes. Elle participera au mouvement insurrectionnel qui démarre le 19 août et aboutit à la libération de Paris le 25 août. Cet engagement tardif d'une institution coupable d'avoir montré un zèle certain à seconder les Allemands durant l'occupation facilitera sa réhabilitation et le maintien, après guerre, de la plupart des policiers à leur poste. 

"Capitale fidèle à elle-même et à la France, a manifesté, sous l’occupation et l’oppression ennemies, et en dépit des voix d’abandon et de trahison, sa résolution inébranlable de combattre et de vaincre",extrait de la citation de la Ville de Paris à l’Ordre de la Libération, décret du 24 mars 1945 portant attribution de la Croix de la Libération. [ouvrage réédité en 2010 - pdf]

 

 

Le 16 août 1944, 35 jeunes gens âgés de 18 à 22 ans furent fusillés derrière l'étang du Réservoir après être tombés dans un traquenard qui aboutit à leur arrestation. Ces jeunes appartenaient à trois organisations de la Résistance et comprenaient vingt francs-tireurs et partisans de la ville de Chelles, trois membres de l'Organisation civile et militaire de la jeunesse et douze Jeunes Chrétiens Combattants, qui voulaient participer à la libération de Paris (25-26 août), ils acceptèrent une mission de transport d'armes proposée par un soi-disant agent de l'Intelligence Ser

 

http://www.devoiretmemoire.org/actualites/a_la_une/index.html

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 22:29

30 juillet 2011 - Réagir à cet article

«Honorer Anatole de Carcaradec en 2011, c'est trahir la mémoire de la Résistance!» Dans une pétition, amis et figures dela Résistance costarmoricaines font monter la polémique d'un ton. Ils demandent au maire de retirer sa rue àl'ancien maire vichyste deBuhulien.

«Comment peut-on honorer la mémoire d'une des figures les plus significatives du pétainisme dans notre département?» C'est sous ce libellé outré que huit Résistants costarmoricains, épaulés par deuxassociations d'anciens combattants (1), montent au front. Le 16 mai, à la demande de Gérald de Carcaradec, le conseil municipal avait décidé à la majorité de baptiser du nom de son aïeul la rue longeant le domaine de Kerivon. Un châtelain qui fut, entre autres, éludépartemental et maire conservateur de Buhulien sous l'Occupation. 

Dur à avaler

Une décision qui a d'emblée fait polémique, Serge Tilly, au nom de l'Anacr, dénonçant un «scandale». Depuis, malgré les souvenirs tout en nuances de François Tassel, ancien résistant, qui a déclaré que le comte n'aurait pas «fait de zèle» auprès de l'Occupant, malgré le plaidoyer de Gérald de Carcaradec, petit-fils d'Anatole, ardent défenseur de la mémoire de son grand-père qui, en aucun cas, n'a été «collabo au sens de la Rue Lauriston», la pilule ne passe pas. 

«Devoir de vérité» 

Pour Thomas Hillion, 86 ans, ancien Franc-tireur et Partisan (et actuel président départemental de l'Anacr), il n'y a «pas de mots assez forts» pour qualifier ce baptême. «Honorer Anatole de Carcaradec en 2011, c'est trahir la mémoire de la Résistance!», tempête l'homme, qui invite «plus qu'à un devoir de mémoire, à un devoir de vérité!». Dans sa main, comme dans celles de ses amis Serge Tilly et Pierre Martin, coprésident national des Amis de la Résistance, plusieurs pétitions (2). Dont certaines assorties de commentaires. Sur celle signée par l'ancien Lannionnais François Le Jean, on y lit que celui-ci a participé à la réunion du comité départ

 

http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/lannion-paimpol/ville/rue-de-carcaradec-la-petition-de-la-colere-30-07-2011-1385469.php

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 22:27
Un nouveau livret à paraître fin de l’année 2012. Dans la même logique méthodologique et face au succès remporté par l’édition de "Struthof,après l’ère des témoins", l’AFMD Isère a décidé d’entreprendre la rédaction d’un livret concernant le camp de concentration de Buchenwald. La campage de souscription et de commande sera lancée prochainement. Ce livret se présente de la façon suivante : 60 pages + couverture Format 15x21 cm Impression offset recto/verso + pelliculage brillant Recto/verso sur toute la brochure Papier couché demi mat 300g Reliure spirale métallique Prix : 15 euros Vous trouverez en pièce jointe une pr
http://www.afmd.asso.fr/DT-38-Buchenwald-apres-l-ere-des.html
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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 20:53
  
  

 

est née le 27 mai 1912 au domicile de ses parents à Ney (39). Son père Louis et sa mère Henriette née SAILLAND sont cultivateurs.

Elle est adoptée par la Nation suite au jugement du Tribunal Civil d'Arbois du 24 septembre 1918.

 

Le 2 mars 1935 elle épouse Alphonse BERMUDEZ à Champagnole (39). Ils sont domiciliés rue des Moulins à Cusset et ils ont deux enfants. 

Elle est gérante du magasin «Etablissement au Planteur du Caïffa» domiciliée rue des Moulins à Cusset. 

Résistante elle entre au réseau Alliance (Pseudo: Thésa) après avoir été contactée en février 1941par le général RAYNAL, chef du secteur de Vichy.

Agent de liaison et de transport de postes émetteurs, de cartes d'état-major et d'armes elle est chargée de mission de 3ème classe avec le grade de sous-lieutenant.

Du 20 au 22 avril 1943 la Gestapo arrête une trentaine d'agents du réseau Alliance dont Thérèse BERMUDEZ et son mari Alphonse. Elle est arrêtée le 22 avril 1943 à son domicile par 4 agents de la Gestapo et internée à la Mal-Coiffée, prison militaire allemande à Moulins, jusqu'au 26 mai 1943.

Elle est ensuite transférée à la prison de Fresnes jusqu'au 14 juillet 1943, puis au Fort de Romainville.

Le 31 janvier 1944 elle est déportée de Compiègne à Ravensbrück où elle arrive le 3 février dans le convoi N°I.175. Elle reçoit le matricule N° 27051 et le 1er septembre 1944 elle est affectée au Kommando d' Helmbrechts où elle reçoit un nouveau matricule, le N° 20589.

Helmbrechts: Kommando du KL Flossenbürg. Situé en Bavière il est composé essentiellement de femmes qui travaillent pour l'usine de tissus Josef Witt.Source:
Livre mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation

 

Elle est ensuite transférée au Kommando d'Holleis

 

http://www.afmd-allier.com/PBCPPlayer.asp?ID=716075

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22 juillet 2011 5 22 /07 /juillet /2011 17:30
L'association des Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation fait graver des stèles qui sortent de l'oubli les déportés. Au fil de ses recherches, François Demaegdt exhume parfois des héros que l'Allier ignorait.

Anne Bourgesanne.bourges@centrefrance.com

Dimanche 19 juin. On est venu de très loin jusqu'à la salle socioculturelle de Saint-Gérand-le-Puy. Le représentant de l'ambassade d'Israël est excusé, mais il y a le sous-préfet, les élus locaux, départementaux et régionaux, le délégué du Comité français Yad Vashem. Et surtout Josette Marquart, née Walh.

Désormais Strasbourgeoise, elle aurait pu ne jamais revoir Saint-Gérand-le-Puy. Le 15 octobre 1943, un camion a embarqué sa mère et sa grand-mère pour un voyage sans retour ; son oncle et son père ayant été arrêtés à Magnet plus tôt.

Ce jour-là, elle a sauvé sa peau en sautant les clôtures des jardins. Puis, elle a été recueillie, avec sa soeur, dans une famille qui a pris des risques énormes. Dénoncés, ils auraient pu être déportés ou fusillés. Finalement, deux petites filles de 5 et 8 ans ont échappé aux camps. Deux vies sauvées qui valent aujourd'hui la médaille des Justes parmi les Nations, à Philibert et Marie-Louise Tuloup.

Dans la salle, un homme tente de maîtriser son émotion. Il n'a pourtant aucun lien de parenté avec ceux-là. Il n'est même pas de la commune où une plaque a été dévoilée avec les noms de treize juifs morts en déportation.

Non. Il est bien plus que cela Ce sont ses recherches qui ont permis de retrouver les noms oubliés, et de sortir un acte d'héroïsme familial, peut-être promis à l'oubli.

Son père est rentré, tant d'autres pas

Sans le travail de fourmi de François Demaegdt et de son association Les Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation (AFMD), ni le courage des uns, les treize tragédies de Saint-Gérand n'auraient pas survécu dans la mémoire collective.

Fils de déporté résistant, François

 

http://www.lamontagne.fr/allier/dans_les_pas_d_un_graveur_de_memoire@CARGNjFdJSsBHxoACxk-.html

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22 juillet 2011 5 22 /07 /juillet /2011 11:35
Dans les années 1920, un vent de liberté souffle sur l’Allemagne de Weimar. Les établissements gay et lesbiens sont nombreux et, si l’homosexualité est officiellement condamnée par le paragraphe 175 du code pénal allemand, les poursuites judiciaires sont rares.

Le Paragraphe 175
« Les actes sexuels contre-nature qui sont perpétrés, que ce soit entre des peersonnes de sexe masculin ou entre des hommes et des animaux, sont passibles de prison ; il peut aussi être prononcé la perte des droits civiques.»
Cet article du Code Pénal a constitué la base légale de 1871 à 1994 pour condamner l’homosexualité masculine en Allemagne. Mais il a été renforcé en 1935, l’homosexualité passant de l’infraction au crime. Le qualificatif «contre-nature» disparaît, élargissant le champ des actes répréhensibles. Des cas aggravants sont ajoutés à la loi, tels que les menaces et la violence, l’abus de position dominante, l’abus sur des hommes de moins de 21 ans et la prostitution. Le sens de la loi change fortement : on ne condamne plus des pratiques sexuelles spécifiques, mais le fait d’être homosexuel. Cela permettra d’envoyer en camp de concentration des hommes sur de simples présomptions. En 1935, le Code Pénal est aussi modifié pour permettre la castration volontaire des délinquants sexuels condamnés au titre du Paragraphe 175, puis le 20 mai 1939, le Reichsführer-SS autorise la castration forcée des délinquants sexuels.



La chasse aux homos

Hitler et les nazis dénoncent les homosexuels qui « corrompent la jeunesse ». En 1935, ils révisent et durcissent le paragraphe 175 : désormais, l’homosexualité est un crime racial. Accusé de freiner la croissance démographique, les homosexuels sont pourchassés sans relâche.



Les associations et établissements homosexuels sont fermés dès 1933 et la Gestapo ou la police utilisent les fichiers homosexuels pour multiplier les arrestations. Entre 50 et 63.000 homosexuels sont envoyés en pri
http://www.deportation-homosexuelle.blogspot.com/search/label/histoire_triangles_roses
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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 20:48

                                                 

                                                                                                                            

                                                                                                                                            

 

Vient de paraître     

 

 

Édition -Diffusion

   5-7, rue de l’École Polytechnique 75005 Paris              

  Tél. 01 40 46 79 20 (comptoir et renseignement libraires)                                                    

  Tél. 01 40 46 79 14 (manuscrits et fabrication)

  Tél. 01 40 46 79 22 (service de promotion)

  Fax 01 43 25 82 03 (commercial)

 

FACE CACHÉE DES FANTÔMES

DES DESCENDANTS DE LA SHOAH

    Marie-Laure Aubignat

                                Préface de Boris Cyrulnik

      ISBN : 978-2-296-54715-5 • juin 2011 • 198 pages Prix éditeur : 20 €

 

  

 

Un enfant confronté à un environnement familial perturbé, à un traumatisme familial trop difficile à partager peut, à son tour, subir un traumatisme insidieux si son entourage ne l’en délivre pas aujourd’hui. Arrive un moment de sa vie où il a besoin d’exprimer les aléas de son développement intime et social. Comment laisser émerger la parole encore jamais advenue ?

 

Tel est l’enjeu de cette recherche, ouvrant la voie à des pistes d’expression, depuis l’énigme du traumatisme passé de ses parents auquel il n’a pas assisté. Au travers  d’une quinzaine de descendants de parents revenus de la Shoah,  les enfants d’enfants cachés ou de déportés survivants s’expriment librement.

 

Une question parcourt ce livre. Quelles sont les particularités de ces enfants nés de l’histoire traumatique et silencieuse de leurs parents  revenus de la Shoah ? Quel type de lien vivent ces descendants culpabilisés, honteux parfois, silencieux souvent, semblant se cacher encore, à leur manière ?

 

« La Face Cachée des Fantômes », ouvrage pluridisciplinaire fournit des réponses nouvelles, interrogeant théories et cliniques pratiquées. Interviews,  récit, et  réponses des sciences humaines (sociologues, psychologues, anthropologues, éthologues, psychanalystes) sont à l’écoute attentive  du développement de  ces nouvelles générations intéressantes à bien des égards.

 

 

Marie-Laure Aubignat, née en 1962, est d’origine lyonnaise. Elle est psychologue clinicienne-psychanalyste et exerce à Boulogne Billancourt (92).

 

Ce livre est destiné à tous les professionnels de l’accompagnement psychologique, mais aussi à toutes les femmes et les hommes conscients de la nécessité d’une prise de conscience des aspects nocifs du silence laissé, suite à un traumatisme collectif,  dans les familles et la société.

 

 
 

Visitez notre site internet et commandez en ligne : http://www.editions-harmattan.fr

Vous pouvez aussi commander cet ouvrage chez votre libraire habituel

 

 

 

 

 

 

 

 


Table des matières

 

        

 

         Remerciements                                                    

         Préface                                                                 

 

         Introduction                                                                

         Chasser les fantômes                                                    

         Comment définir les fantômes ?                                    

         Aujourd’hui penser la Shoah.                                                

 

        

         Les descendants de déportés survivants              

         Les descendants d’enfants cachés

        

                   

         Sortir de l’écho du silence                        

         Bibliographie

 

 

 

 

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BON DE COMMANDE

A retourner à L’HARMATTAN, 7 rue de l’Ecole Polytechnique 75005 Paris

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FACE CACHÉE DES FANTÔMES

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