Bonjour,
A la recherche d'informations visant à élargir ma documentation sur les événements de février 1944 à Riom (Puy-de-Dôme) en particulier et, plus généralement, sur la Résistance en Auvergne, j'ai eu accès à l'article publié sur votre blog : « Maurice Berger Juste parmi les Nations de Rioms ».
Pour des raisons professionnelles, je connais bien la plate-forme de publication de blog qu'est « overblog », je pense que vous n'aurez aucun mal à corriger la petite faute d'orthographe que constitue le « s » à Riom.
Mais, ce n'est pas mon propos même si je suis sensible de l'orthographe d'une ville qui constitue du bonne partie de mon patrimoine familial.
Je suis en effet le petit-fils du « Virlogeux » dont il est fait mention dans le début du témoignage de Louis Blanchot.
Loin de moi l'idée de mettre en doute le contenu de ce témoignage, bien au contraire. Il me permet d'avoir une image de Maurice Berger que je ne possédais pas. Les seuls informations que je possédais au départ était celles de mon père, Jean Virlogeux, alors âgé de 16 ans, qui fut arrêté dans la même fournée que Maurice Berger et Pierre Virlogeux « Commandant Vernier des MUR d'Auvergne » par le SIPPO-SD de Clermont-Ferrand.
Agent de liaison de la Résistance, déporté (Caserne d'Anteroche à Riom, 92 RI à Clermont, Compiègne-Royallieu, Neuengamme, Fallersleben, libéré à Wôbbeline pesant 27 kg, mon père était peu au fait des événements de la Résistance auquel il participait (âge et cloisonnement oblige) et fut peu disert après son retour d'Allemagne (pour votre information, il finit sa carrière comme chef d'entreprise d'une entreprise de céramique à Digoin – Saône-et-Loire).
Il y a a cependant des imprécisions dans les paragraphes du témoignage qui suivent le sous-titre « Dénonciation' ».
Je suppose que le témoin était peu au fait de la structure de la Résistance en Auvergne (ce qui était logique à l'époque). Mais les conditions de la rafle à laquelle il fait allusion reste aujourd'hui encore mal éclaircies ce qui est, entre autres choses, l'objet de mes recherches, sachant que ces évènements ont directement impactés l'histoire de ma famille.
Pour faire court :
- Suicide de mon grand-père paternel le soir de son arrestation (ce à quoi fait allusion le témoignage)
- Décès de ma grand-mère paternelle au camp de Ravensbrücke,
- Déportation de mon père,
- Dissolution de la structure familiale,
- Conflits familiaux et sociaux à la fin de la guerre et dans les années de la reconstruction.
Cela a été le fait dans beaucoup de familles de déportés et c'est pour cela que j'éprouve aujourd'hui le besoin de documenter la mémoire familiale.
J'aimerai donc savoir dans quelles conditions, il serait possible d'apporter les précisions nécessaires, de poser les questions qui doivent être poser et éventuellement, de bénéficier des informations complémentaires dont vous pourriez disposer.
En vous remerciant pour votre réaction.
Cordialement
Claude Virlogeux
Journaliste
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