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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 22:51

L'humoriste avait convié sur scène le négationniste Robert Faurisson avant de lui faire remettre un "prix de l'infréquentabilité" par une personne déguisée en déporté juif.

Dieudonné. (STEVENS FREDERIC/SIPA)

Dieudonné. (STEVENS FREDERIC/SIPA)

La Cour de cassation a rejeté mardi 17 octobre un pourvoi de Dieudonné, rendant ainsi définitive sa condamnation pour des propos tenus lors d'un spectacle où il avait convié sur scène le négationniste Robert Faurisson, selon un arrêt consulté mercredi par l'AFP.

En première instance comme en appel, Dieudonné M'Bala M'Bala a été condamné à 10.000 euros d'amende pour injure à caractère raciste. Il avait fait remettre à Robert Faurisson, par quelqu'un déguisé en déporté juif, un "prix de l'infréquentabilité", le 26 décembre 2008 sur la scène du Zénith de Paris, pour son spectacle "J'ai fait le con".

Dans un communiqué, la Confédération des juifs et amis d'Israël s'est réjouie de la décision de la Cour de cassation.

Deux condamnations pour 

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20121017.OBS6006/dieudonne-definitivement-condamne-pour-son-spectacle-avec-faurisson.html

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 21:25

 

 

Une feuille de route du Premier Ministre instaure la Mission contre les discriminations et violences homophobes, lesbophobes et transphobes. 

 

Sa coordination incombe à Najat Vallaud-Belkacem, Ministre et porte-parole du gouvernement. c'est dans ce cadre qu'une contribution de notre association a été sollicitée. 

 

Le processus débuté à la mi-septembre permet aux associations consultées de faire entendre leur voix lors de réunions tenues au Ministère des Droits des Femmes et d'être forces de proposition. 

 

Présente au côté d'autres associations LGBT, notre association représentée soit par le président ou son vice-président, s'est impliquée plus particulièrement dans le groupe de réflexion portant sur la lutte contre les stéréotypes. 

 

Le travail de ce groupe touche notamment à l'éducation et la culture et les propositions que nous avons formulées sont résumées dans ce document

 

Nous espérons que nos demandes se

http://www.devoiretmemoire.org/actualites/communiques/2012/20121015.html

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 21:23
Brochure numérique de "Communiquer pour résister"
La brochure numérique du CNRD est en ligne :

http://www.fondationresistance.org/catalogue/appli.htm

Livre en itatlien : L'ultimo treno, de Carlo Greppi

Essai historique de l'Italien Carlo Greppi.

Pour en savoir plus, cliquez sur le lien ci-dessous :
Conférence : L'Europe entre Hitler et Staline, à Sciences Po

Le jeudi 25 octobre,de 18 heures à 19 h 45,
A Sciences Po 
amphithéâtre Jacques Chapsal
27, rue Saint-Guillaume
75007 Paris

Conférence : L'Europe entre Hitler et Staline
Par Thimothy Snyder,auteur de "Terres de sang"

Réservation en ligne : www.conf-girard.fr

 
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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 23:04

(AFP.)Zoom

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C’est un fonds majeur qui va rejoindre le musée Jean-Moulin. La petite-cousine de l’illustre résistant, Andrée Escoffier, décédée en avril dernier, a légué par testament un ensemble exceptionnel de 7 m linéaires d’archives comprenant principalement des...

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 21:25

http://blog-fondation-memoire-deportation.blogspot.fr/

conférence : L'Europe entre Hitler et Staline, à Sciences Po


Le jeudi 25 octobre,de 18 heures à 19 h 45,
A Sciences Po 
amphithéâtre Jacques Chapsal
27, rue Saint-Guillaume
75007 Paris

Conférence : L'Europe entre Hitler et Staline
Par Thimothy Snyder,auteur de "Terres de sang"

Réservation en ligne : www.conf-girard.fr

 
Rencontre au CERCIL : Les médecins juifs dans les camps d'internement français

Les médecins juifs dans les camps d’internement français 

le mardi 16 octobre 2012 

à 18h00 

au Cercil – 45 rue du Bourdon Blanc, Orléans 

Rencontre avec Gabrielle Mass, témoin 
et Bruno Halouia, médecin et historien 



Quatre-vingts lettres écrites à son épouse par le Docteur Mass, interné au camp de transit de Drancy du 16 octobre 1941 au 31 juillet 1943, nous font entrer dans l’intimité d’un médecin victime de la persécution antisémite. Pour sa femme Élisabeth et leur fille Gabrielle, Zacharie Mass nourrit l’espoir d’une libération, alors que planent parmi les internés juifs, la famine, la terreur d’être fusillé comme otage puis, à partir de mars 1942, la peur d’être déporté. Il sera alors temps pour Gabrielle de devenir une enfant cachée. 
Bruno Halouia, médecin et historien, auteur de Blouses blanches, étoile jaune (ed. Liana Levi), interviendra sur la situation des médecins juifs en France pendant l’Occupation. 
Rencontre organisée à l’occasion de la publication des lettres de Zacharie Mass aux éditions le Manuscrit / FMS. 
Entrée libre dans la limite des places disponibles. Il est possible de réserver. 
Renseignements et réservation 02 38 42 03 91 cercil@cercil.eu 
Colloque "Mémoires et Réconciliations" à Strasbourg

Du 13 au 15 novembre 2012

L'AMAM, la Délégation à la Mémoire Régionale (Région Alsace) et Jean-Pierre Rioux, historien, inspecteur général de l'Education honoraire,organisent, dans le cadre de la "Rencontre des Mémoires", un colloque, à Strasbourg :

Mémoire et Réconciliations

Renseignements et inscriptions :
La participation au colloque est gratuite, mais l'inscription est obligatoire.
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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 11:58

Le 15 octobre 1945, Pierre Laval, ancien dirigeant de la gauche pacifiste, est fusillé dans la prison de Fresnes pour crime de collaboration avec l'occupant allemand. Ayant tenté de s'empoisonner dans sa cellule, il est traîné moribond jusqu'au peloton d'exécution.

http://www.herodote.net/almanach/jour.php?jour=1015

Pierre Laval (1883 - 1945)

Du socialisme à la collaboration


Né à Châteldon (Puy-de-Dôme) le 28 juin 1883, dans la famille d'un modeste cafetier, Pierre Laval est un homme de contradictions.

Autodidacte aux manières frustes, il acquiert une immense fortune grâce à son cabinet d'avocat. Réformé pendant la Grande Guerre, il se fait ensuite le champion du pacifisme ; entré dans la politique à l'extrême-gauche, il devient pour finir, aux côtés du maréchal Pétain, le principal acteur de la collaboration avec l'occupant pendant la Seconde Guerre mondiale.

André Larané
Socialiste et pacifiste

Avocat après des études d'autodidacte, Pierre Laval brille néanmoins dans les rangs de l'extrême-gauche révolutionnaire avant d'être élu en 1914 député socialiste d'Aubervilliers. Proche des humbles et habile manoeuvrier, il devient maire de cette cité ouvrière des environs de Paris et le restera presque sans discontinuer jusqu'à sa chute.

Réformé pendant la Grande Guerre, il ne cesse de militer en faveur d'une paix de compromis. Après le conflit, il quitte la SFIO (le parti socialiste de l'époque) et se fait réélire sous l'étiquette de socialiste indépendant en 1924, lors des élections qui voient la victoire du Cartel des Gauches.

Habile manoeuvrier, il est plusieurs fois ministre, notamment ministre de la Justice dans le gouvernement de gauche de Briand, en 1926, et ministre du Travail dans celui de Tardieu en 1930. À ce poste, il promulgue la loi sur les assurances sociales, à l'origine de la Sécurité Sociale.

Manoeuvrier avant tout

Président du Conseil une première fois du 27 janvier 1931 au 16 février 1932, sous la présidence de Gaston Doumergue, Pierre Laval est le premier chef du gouvernement français depuis la Grande Guerre à se rendre en république allemande, où il reçoit un accueil enthousiaste.

Mais c'est lui, aussi, qui s'oppose au projet d'union douanière entre l'Autriche et l'Allemagne, destiné à sauver l'industrie autrichienne. Le veto du gouvernement français débouche le 11 mai 1931 sur la faillite retentissante de la Kreditanstalt Bank, principale banque autrichienne, et l'irruption à grand fracas en Europe de la crise économique issue du krach de Wall Street, à un moment où celle-ci semblait en voie de résorption.

Sous la présidence d'Albert Lebrun, Laval occupe différents ministères dont celui des Affaires étrangères, qu'il prend suite à l'assassinat de Louis Barthou et conserve jusqu'en mai 1935. En cette qualité, soucieux de protéger la France contre la menace allemande, il négocie une alliance avec l'Italie de Mussolini ainsi qu'avec l'URSS de Staline. Mais l'invasion de l'Éthiopie par l'Italie signe son échec.

Réinstallé à la présidence du Conseil de juin 1935 à janvier 1936, Pierre Laval tente de remédier à la crise économique par une politique de «déflation» ; autrement dit une baisse autoritaire des salaires. Catastrophe ! Il s'ensuit une chute de la production industrielle de l'ordre de 30%, plus de 500.000 chômeurs secourus... et une victoire électorale du Front populaire en mai 1936.

De retour dans l'ombre pendant près de quatre ans, Laval, pacifiste invétéré, est l'un des très rares parlementaires à s'opposer à la déclaration de guerre à l'Allemagne en septembre 1939. La défaite de l'année suivante semble lui donner raison et lui vaut d'entrer dans le gouvernement du maréchal Pétain deux jours plus tard comme ministre d'État dès le 23 juin 1940.

Il se dépense sans compter pour obtenir des parlementaires réunis à Vichy qu'ils votent les pleins pouvoirs constitutionnels au vieux Maréchal le 10 juillet 1940. Ce succès lui vaut deux jours plus tard la vice-présidence du Conseil. Il devient de facto la cheville ouvrière du gouvernement.

La collaboration par calcul

Intimement convaincu de l'inéluctable victoire de l'Allemagne, Laval prend le parti d'en atténuer le prix pour la France et s'engage ce faisant dans une collaboration de plus en plus équivoque avec l'occupant.

Mais Pétain, qui souffre de son arrogance, le renvoie brutalement le 13 décembre 1940. Il le fait même arrêter mais l'ambassadeur allemand à Paris Otto Abetz, qui l'a en estime, obtient sa libération.

Laval, écarté du pouvoir, reste néanmoins présent dans la sphère publique. Le 27 août 1941, il assiste dans une caserne de Versailles à la remise du drapeau au premier contingent de la Légion des Volontaires Français (LVF), qui a reçu mission de se battre sur le front de l'Est contre les Soviétiques, au côté des Allemands.

Tout d'un coup, plusieurs coups de feu claquent. Pierre Laval et Marcel Déat sont touchés. L'auteur des coups de feu, un légionnaire, est arrêté. Comme un officier allemand dit à Laval qu'on s'apprête à le fusiller, celui-ci répond : «Je vous en supplie, ne faites pas ça. Ce serait une grave erreur». Le légionnaire sera jugé, condamné à mort et grâcié sur les instances de l'ancien vice-président du Conseil.

L'attentat vaut à Laval une moindre impopularité dans l'opinion française et un regain d'estime de la part des Allemands.

Ceux-ci, las des tergiversations du gouvernement de Vichy, imposent au maréchal Pétain de le rappeler le 17 avril 1942 avec des pouvoirs quasiment illimités. Il veut de la sorte obtenir un soutien sans équivoque de l'administration française. La Collaborationse confond désormais avec Pierre Laval.

Le nouvel homme fort de Vichy assume tout à la fois la direction du gouvernement et les ministères de l'Information, des Affaires étrangères et de l'Intérieur. S'arrogeant la réalité du pouvoir, dans les limites très étroites accordées par les Allemands, il relègue pour de bon le maréchal Pétain au rôle de «potiche» et met au placard l'ancien ministre de l'Intérieur Pierre Pucheu et les autres ambitieux de la banque Worms (le«Groupe» ou la «Synarchie»).

Le 22 juin 1942 (un an après l'invasion de l'URSS), Pierre Laval tient un discours radiodiffusé dans lequel il célèbre l'Allemagne, «rempart contre le bolchevisme». Il a cette formule qui révulse l'opinion : «Je souhaite la victoire de l'Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s'installerait partout».

Fuite en avant

L'occupation de la «zone libre» par la Wehrmacht le 11 novembre 1942, en violation des accords d'armistice, réduit considérablement les marges de manoeuvre du gouvernement de Vichy. 

Dès lors, Laval va pratiquer un double jeu déshonorant en devançant les désirs de l'occupant allemand pour tenter de lui arracher des concessions, par exemple sur la libération des prisonniers de guerre. Il institue d'abord la «relève», autrement dit l'envoi de travailleurs volontaires en Allemagne en contrepartie de la libération de prisonniers. Puis, comme cell

http://www.herodote.net/histoire/synthese.php?ID=85

 

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 11:56
par Camille Barbe

L’exposition de l’Hôtel des Invalides réunit une soixantaine de caricatures qui représentent Charles de Gaulle tout au long de sa carrière politique.

« Tous les journaux ont publié le portrait officiel de mon général. En lui présentant ce portrait, le photographe dit au Grand Charles :  « - Il aurait besoin de retouches.
Et le grand Charles de répondre :
-    Bah ! Les caricaturistes s’en chargeront ». Les nôtres se sont aussitôt mis à l’ouvrage ». 
La Une du Canard Enchaîné du 20 mai 1959 témoigne de la vigueur des dessinateurs de presse envers le général de Gaulle. Des traits de crayon, d’humour et d’esprit que l’Hôtel des Invalides s’attache à nous faire partager avec l’exposition « Vive le dessin libre ! ». Les débuts en politique, la relation franco-allemande, la guerre d’Algérie, les élections de 1965 ou encore la crise de mai 1968… le visiteur se délecte de ces arrêts sur image des temps forts de celui que les médias baptisèrent « le général micro » au moment de la Seconde Guerre mondiale. Ce n’est en effet qu’en 1944 que son visage fut connu du public. 
Acrochées aux piliers de la cour de l’Hôtel des Invalides, les caricatures s’enchaînent et dévoilent le grand homme croqué, tantôt avec respect voire admiration tantôt avec une férocité acerbe, par les dessinateurs de presse français et étrangers.
Dans « L

http://www.histoire.presse.fr/web/articles/de-gaulle-croque-aux-invalides-09-10-2012-49150

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 11:55

Le 2 janvier 1942, Jean Moulin (42 ans) est parachuté en France en vue d'organiser la Résistance intérieure et de la placer sous les ordres du général de Gaulle qui réside à Londres.

Le relais de Londres

Issu d'une famille radicale-socialiste de Béziers, Jean Moulin côtoie avant la Seconde Guerre mondiale des politiciens de la gauche non communiste comme Pierre Cot, ministre du Front populaire. Il est préfet d'Eure-et-Loir au moment de l'invasion allemande, en juin 1940.

Le 17 juin 1940, à la préfecture de Chartres, des officiers allemands lui demandent de signer un texte condamnant de prétendus méfaits des troupes africaines de la France. Jean Moulin refuse. Il est arrêté et dans la nuit, désespéré, tente de se suicider. Sauvé de justesse, il retourne à la préfecture avant d'en être évincé le 2 novembre 1940. Dès lors, il multiplie les contacts clandestins avec les embryons de mouvements de résistance.

Un an plus tard, en octobre 1941, il part pour Londres avec l'intention de demander une aide aux Anglais et aux Français libres qui entourent le général de Gaulle en vue de développer la résistance intérieure. Jean Moulin est reçu avec faveur par le général de Gaulle qui apprécie sa connaissance de la Résistance intérieure et ses compétences d'administrateur.

Le chef de la France libre, qui peine à se faire reconnaître par les résistants de l'intérieur, encore peu nombreux, peu actifs et divisés, demande à Jean Moulin de se faire son ambassadeur ou son porte-parole auprès d'eux. L'ex-préfet accepte. C'est ainsi qu'il est parachuté sur le sol français (avec les pseudonymes de Rex ou Max) le 2 janvier 1942.

Tout en tissant sa toile secrète, Jean Moulin va mener au grand jour, dans le sud du pays, la vie paisible d'un ancien préfet à la retraite !

Jean Moulin face à la Résistance intérieure

Sur le sol français, pendant ce temps, la Résistance intérieure se développe à l'initiative de personnalités comme Henri Frenay qui a fondé à Lyon le mouvementCombat. Il comprend plusieurs dizaines de milliers de sympathisants et environ 200 permanents. Limité dans ses objectifs et ses moyens, le mouvement organise principalement des filières d'évasion vers la Suisse ou l'Espagne.

À la mi-1941, après l'invasion de l'URSS par la Wehrmacht, les communistes français entrent à leur tour dans la résistance, créent leurs propres réseaux et multiplient les attentats.

Les Allemands réagissent avec brut

http://www.herodote.net/2_janvier_1942-evenement-19420102.php

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 11:54
 TEMOIGNAGE 
Marie-Claude Vaillant-Couturier 
sur Auschwitz et Ravensbrück
 
QUARANTE-QUATRIEME JOURNEE
Lundi 28 janvier 1946
Audience du matin
 

Monsieur DUBOST : - Avec l'autorisation du Tribunal, nous poursuivrons cette partie de l'exposé du cas français par l'audition d'un témoin qui a vécu pendant plus de trois ans dans les camps de concentration allemands. 

(On introduit Madame Claude Vaillant-Couturier.) 

LE PRESIDENT : - Quel est votre nom ? Voulez-vous vous lever, je vous prie ? Voulez-vous prêter serment en français ? 

Madame VAILLANT-COUTURIER : - Claude Vaillant-Couturier. 

LE PRESIDENT : - Répétez le serment avec moi : "Je jure de parler sans haine et sans crainte, de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité." 

Levez la main droite et dites : "Je le jure". 

Madame VAILLANT-COUTURIER : - Je le jure. 

LE PRESIDENT : - Asseyez-vous et parlez lentement. Vous vous appelez ? 

Madame VAILLANT-COUTURIER : Vaillant-Couturier, Marie, née Claude Vogel. 

Monsieur DUBOST : - Votre nom actuel est Madame Vaillant-Couturier ? 

Madame VAILLANT-COUTURIER: - Oui. 

Monsieur DUBOST : - Vous êtes la veuve de M. Vaillant-Couturier. 

Madame VAILLANT-COUTURIER: - Oui. 

Monsieur DUBOST : - Vous êtes née à Paris le 3 novembre 1912 ? 

Madame VAILLANT-COUTURIER: - Oui. 

http://www.fndirp.asso.fr/temoigmcvc1.htm

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15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 11:49

Au conseil général de Meurthe-et-Moselle 
esplanade Jacques Baudot (face à Nancy thermal) à Nancy 
Entrée libre

exposition de l’artiste peintre Gabi Jimenez

Cette exposition, réalisée en partenariat avec les Amis de la fondation pour la mémoire de la déportation et l’association Amitiés Tziganes, est ponctuée de temps festifs et d’échanges :

- Spectacle - Des vies à visages par le Cercle de la Litote, compagnie des arts de la rue Jeudi 18 octobre 2012 à 18h

- Film-débat - Des 

http://www.afmd.asso.fr/Memoire-d-Hier-et-d-aujourd-hui.html

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  • : Mémoire de la Résistance et de la Déportation
  • : il s'agit d'un blog dédié à la Mémoire en général et à la mémoire de la Résistance et de la Déportation en particulier
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