Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 janvier 2013 6 26 /01 /janvier /2013 12:14

http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/2013/01/26/26-janvier-1943-creation-des-mur/

Le 26 janvier 1943, les Mouvements unis de Résistance (MUR) tout d’abord Mouvements de Résistance unis (MRU) sont créés à l’initiative du préfet Jean Moulin. Les MUR réunissent “Combat” dirigé par Henri Frenay, “Franc Tireur” à la tête duquel se tient Jean-Pierre Lévy et “Libération-Sud” mené par Emmanuel d’Astier de la Vigerie.
L’avantage de cette fusion est de permettre une coordination des actions clandestines. Chaque mouvement conserve sa presse. Cet épisode est important parce qu’il est clé de modélisation de l’organisation de la Résistance et une étape obligée pour stimuler la fédération des mouvements autour du général de Gaulle.
Il faut beaucoup de psychologie et d’habileté à Jean Moulin pour convaincre ces trois personnalités très engagées contre Vichy et l’occupant d’accepter de travailler collégialement dans l’intérêt commun et celui des Alliés, en sachant faire mutuellement les concessions qui s’imposent sans renoncer sur l’essentiel. Ce pas vers l’unification de la Résistance intérieure suppose que chaque personnalité accepte de faire des gestes de bonne volonté pour cimenter une dynamique en faveur de la libération de la France, la restauration des droits fondamentaux et des institutions républicaines.
“Libération-Sud” est né dès l’automne 1940 à Clermont-Ferrand et à la naissance des MUR, ce mouvement est capable de diffuser de 60 000 à 100 000 exemplaires de journaux clandestins. France-Tireur né à Lyon en 1941 réunit des individus venus de différents horizons qui sont hostiles à l’armistice et à ses conséquences et estiment pertinente la posture adoptée d’entrée par le général de Gaulle même si certains veulent en savoir plus sur cette figure toujours debout dans la tempête. Jean-Pierre Lévy qui rejoint le groupe s’active pour qu’un journal “Franc-Tireur “voit le jour. C’est chose faite à l’automne 1941. Sous le titre figure cette manchette provocatrice: “Mensuel dans la mesure du possible et par la grâce de la police du Maréchal”. L’équipe est aussi rejointe par Eugène Petit “Claudius”.
“Combat” est né pour sa part de la fusion décidée en novembre 1941 des groupes Liberté et Libération nationale. Celui qui est le Mouvement de Libération française est bientôt connu sous le nom de “Combat” tout simplement parce que c’est le nom du journal clandestin qui est publié par le mouvement. En zone nord, le mouvement donne naissance sous la direction de Jacques Lecompte-Boinet à Ceux de la Résistance. Le comité de Combat qui est soigneusement dosé avec une parité garantie entre les dirigeants de Liberté comme François de Menthon, Pierre-Henri Teitgen et Alfred Coste-Floret et de Libération nationale avec Claude Bourdet et 

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 12:13

http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/2013/01/25/25-janvier-1943-les-sovietiques-occupent-voronej/

Les soldats de l’Armée rouge entrent à Voronej après des combats d’une violence inouïe dès le 23 janvier 1943 mais ils ne réalisent l’occupation totale de la ville que le 25. Les Allemands continuent de résister et épuisent leurs dernières munitions en pratiquant la résistance maison par maison. Ce qui entraîne une dévastation de la ville et une conquête rue par rue avec l’emploi de l’artillerie. Les victimes sont nombreuses.
La situation est tout aussi alarmante à Stalingrad où les soldats de la VIe armée du général Paulus sont soumis à des restrictions alimentaires effrayantes. Des hommes meurent de faim et de froid les armes à la main. L’économie des munitions qui sont à un niveau trop bas facilite la manoeuvre soviétique qui est de serrer l’étau dans lequel l’ennemi est déjà prisonnier.
Dans le Caucase, les unités du général von Kleist sont contraintes de se replier alors que les troupes soviétiques réoccupent Armavir sur la ligne de chemin de fer qui relie Rostov à Bakou. Toutes les informations qui remontent au quartier général du Führer confirment que le périmètre de contrôle et d’influence de la Wehrmacht se réduit à l’Est tandis que la suprématie de la Luftwaffe est désormais très contestée. Au poin

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 09:20
http://www.afmd.asso.fr/Nouveau-site-Internet-pour-le.html

Lien : http://www.memorial-des-deportes-mayenne.fr

Ce site vous présente la genèse du projet, le Mémorial et les animations mises en place par l’association.

N’hésitez pas à consulter ce tout nouveau site !

JPEG - 92.5 ko

1 photos

Partager cet article
Repost0
25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 09:17
 

Publié le jeudi 17 janvier 2013 à 14H42 par AgendaWeb

Commune: Reims

Département: 51

Type: Spectacles

Mots-clés: -

Infos pratiques:

Date de début: 24 Janvier, 2013 - 20:00

Date de fin: 24 Janvier, 2013 - 22:00

Lieu: Espace Le Flambeau - 13, rue de Bétheny

 

Représentation de la pièce de théâtre "Le Convoi" Mise en scène par Gérard Thévenin, présentée en partenariat avec l'AFMD 51 (association des amis de la fondation pour la mémoire de la déportation).
Les actions de résistance, les arrestations, le départ du convoi et l’arrivée au camp d’Auschwitz : la mort pour la plupart et le retour difficile à la vie pour les rescapées, c’est ce qu’évoque la pièce.
16 tableaux pour faire revivre le parcours de 10 déportées, parmi les 230, héroïques et solidaires, qui, en choisissant la résistance à l’occupant, ont vécu dans la pleine fleur de leur âge, l’enfer des camps.
Des extraits des poèmes "Wagons
Partager cet article
Repost0
25 janvier 2013 5 25 /01 /janvier /2013 09:16
http://www.afmd.asso.fr/DT-38-memoire-et-Vigilance-en-730.html

Bonne lecture.

Sommaire


L’APPLICATION DE L’IDEOLOGIE
NAZIE À RAVENSBRÜCK
PAR M-J CHOMBART DE LAUWE 2-3
RÉSISTANCE DANS LES CAMPS
NAZIS PAR ROGER BORDAGE 4-5
SEMAINE MÉMOIRE
ET RÉSISTANCE À SEYSSINS
PAR SERGE RADZYNER 6-9
“NI FUSION, NI AMALGAMME”
PAR JEAN-PAUL GIROUD 10
HOMMAGE
À RAYMOND AUBRAC
PAR OLIVIER VALLADE 10
OBLIGATION DE Q

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 09:33

du 7 février 2013 au 12 février 2013

Le jeudi 7 février, à 19h, projection du film "Le Préfet de l'Ombre". Le mardi 12 février, à 19h, projection du film "Le Coq Enchainé ". Deux films de témoignages en présence des deux réalisateurs : Bernard Maigrot et Didier Bouillot.

Le 27 mai 1943, Jean Moulin, sur ordre de De Gaulle, créait le Conseil National de la Résistance. Et le 21 juin 1943, il était arrêté à Caluire, interrogé par le chef de la Gestapo Klaus Barbie et interné au fort Montluc. 70 ans après, la bibliothèque universitaire de l'Université Jean Moulin Lyon 3 propose, durant deux soirées avec projections de films et débats, d'interroger l'histoire de la Résistance, de comprendre la portée du symbole national qu'est Jean Moulin et d'évoquer le leg universel du Conseil National de la Résistance.

Les films :
"Le Préfet de l'Ombre". Durée : 52 minutes
Jean Moulin raconté par lui-même : ses regards, ses dessins, ses écrits, ses actes.
Jean Moulin raconté par ceux qui l'ont connu : Raymond Aubrac, Mouvement de Résistance, Libération Sud, Claude Bourdet, dirigeant du mouvement Combat, Daniel Cordier, son secrétaire particulier dans la lutte clandestine, Frédéric Dugoujon, ancien maire de Clauire,et de nombreux autres témoins de la Résistance.
Jean Moulin raconté par André Malraux, dans son discours d'anthologie de 1964.
Ce documentaire exceptionnel, réalisé en 1993 à l'occasion du cinquantenaire de son arrestation et de sa mort, explique pourquoi et comment Jean Moulin est devenu un symbole de la Résistance, l'icone de ses idéaux.
Vingt ans après, et 70 ans après la création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, ce film interroge la permanence de ce symbole et témoigne des évolutions de la mémoire collective et de ses enjeux. 

"Le Coq Enchaîné". Durée : 26 minutes.
C'est une histoire de résistance. Mais de résistance lyonnaise. Louis Pradel, avant d'être maire de Lyon, en a été un des fondateurs. Le Coq Enchaîné était un mouvement de résistance radical, socialiste et franc-maçon, créé à Lyo
Partager cet article
Repost0
24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 09:31

Jean-Marc Ridet et Alain Debrus participent depuis quelque temps aux cérémonies. Catherine Digard, présidente de la FNDIRP, a noué des liens avec ces victimes de l'horreur nazie.

Jean-Marc Ridet et Alain Debrus participent depuis quelque temps aux cérémonies. Catherine Digard, présidente de la FNDIRP, a noué des liens avec ces victimes de l'horreur nazie.


CHATEAU-THIERRY (Aisne). Avec l'association « Les Oubliés de la mémoire », le festival du film historique et citoyen évoque, demain soir, les déportés pour homosexualité.

 

Communiquer pour résister, tel est le thème du concours de la Résistance, cette année, et donc du festival du film historique et citoyen.

Communiquer, Pierre Seel l'a fait un demi-siècle après sa déportation pendant la Seconde Guerre mondiale. Avec la projection de L'Arbre et la Forêt, film inspiré de son histoire, demain soir, lors de la seule séance proposée au tout public, le 6e festival aborde le thème de la déportation pour motif d'homosexualité.

Un film marquant

Le film sera diffusé sur une proposition des représentants sud axonais de l'association Les Oubliés de la mémoire, partenaire depuis quelques mois des organisateurs de ce rendez-vous. « Ils participent, avec nous, depuis deux ou trois ans, aux cérémonies commémoratives », précise Catherine Digard, présidente, à Château-Thierry, de la Fédération nationale des déportés et internés, résistants et patriotes (FNDIRP). Des liens se sont donc noués.

« Au cours de conversations, nous nous sommes dit que nous pourrions participer. On a besoin les uns des autres », relate Jean-Marc Ridet, le délégué de l'association pour la Picardie, présent lors de la précédente édition.

L'Arbre et la Forêt est sorti en 2010. « Je l'ai vu il n'y a pas très longtemps », indique Catherine Digard et ce long-métrage ne l'a pas laissé indifférente. L'homosexualité y est « suggérée » raconte-t-elle et la souffrance d'une vie étouff

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 09:30

http://www.lejsl.com/saone-et-loire/2013/01/23/la-traction-de-jean-moulin-a-fete-ses-73-ans

 

Titine a fêté ses 73 ans vendredi au collège Jean-Moulin de Montceau.

Titine, tel est le nom donné à la Traction 11 B de 1940, qu’Éric Skrzypcsak, président de l’association « Une Traction pour Jean-Moulin », et son équipe d’élèves remettent en état depuis quelques années sur le site du collège. En haut de l’image, le projet en cours. En bas, ce que devrait être Titine bientôt

Cette année, c

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 09:15

http://lhistoireenrafale.blogs.lunion.presse.fr/2013/01/24/24-janvier-1943-de-compiegne-a-auschwitz/

Le convoi du 24 janvier 1943 qui part de Compiègne comprend à la fois des wagons chargés d’hommes et d’autres chargés de femmes. Elles sont deux cent trente qui vont être transférées vers le camp d’Auschwitz-Birkenau et vont y entrer le 26 en chantant le Marseillaise.

Elles ne seront que quarante-neuf à survivre à l’horreur du camp. La plupart sont des résistantes, la moitié sont des communistes. Les hommes eux sont dirigés sur le camp de concentration de Sachsenhausen. Parmi les déportées, il y a quatre Ardennaises qui font le voyage avec Danielle Casanova, Marie-Paule Vaillant-Couturier, Charlotte Delbo et tant d’autres. Il y a Marcelle Fugelsang, une infirmière assistante sociale au Secours national de Charleville qui a été appréhendée le 31 octobre 1942 et accusée de propagande gaulliste et d’aide aux prisonniers de guerre évadés. Elle décèdera dès le 21 mars 1943. Anna Jacquat qui tient le café de la Petite-Vitesse de Charleville qui a été interpellée le même jour et pour les mêmes raisons que Marcelle Fugelsang. Elle meurt au camp en février 1943. Marguerité Durbecq qui est originaire de Rocroi et exerce le métier de cuisinière au Secours national disparaît le 12 mars 1943. Enfin Léona Ravaux, une militante communiste native d’E

Partager cet article
Repost0
23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 09:53

C'est sous ce titre que les associations de l'Adirp et l'AFMD des Hautes-Pyrénées, en partenariat avec la commune de Campan, vous proposent une exposition sur la Déportation et la barbarie nazie à la salle des fêtes de Campan-Bourg. L'exposition sera ouverte du 22 au 30 janvier (sauf le 26 janvier), de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures. Entrée libre. Musée de la Déportation et de la Résistance à 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Mémoire de la Résistance et de la Déportation
  • : il s'agit d'un blog dédié à la Mémoire en général et à la mémoire de la Résistance et de la Déportation en particulier
  • Contact

Recherche